Faut-il encore présenter le Bullet Journal® ou BuJo pour les intimes ? Ce carnet personnalisable à souhait semble avoir révolutionné l’organisation et le quotidien de milliers de personnes à travers le monde. Plus qu’un simple agenda, cet outil permet d’annoter tout ce qui nous semble pertinent, important et utile dans un seul et même endroit. Fini les innombrables carnets, les post-it et les bouts de papier volants : grâce au BuJo, on peut réunir ses rendez-vous du jour, son menu de la semaine, sa liste de courses, les dates d’anniversaires, le suivi de nos divers objectifs mensuels, etc. sur un seul et même support et organiser tout cela selon nos préférences et besoins personnels.
Personnellement, j’ai testé le BuJo pendant quelques mois mais j’ai assez vite réalisé que ce système ne me convenait pas. D’une part, je passais plus de temps à réfléchir à la manière d’organiser mon carnet qu’à le remplir et à le consulter car je n’arrivais pas à décider qu’inclure, où et sous quelle forme. D’autre part, plus le temps passait, plus mon carnet ressemblait à un brouillon car je n’arrivais pas à me motiver à prendre le temps de faire des traits bien droits, des cases égales, des encadrés soignés, etc. et je ne le trouvais donc pas du tout agréable à consulter. Je ne cherchais pourtant pas à en faire une œuvre d’art, loin de là – j’aurais tout à fait pu me satisfaire d’un BuJo unicolore, sans illustrations ni jolies lettrines, mais je n’arrivais malgré tout pas à créer une structure à la fois sobre, pratique et uniforme. Enfin, le plus contraignant pour moi, c’était de ne pas pouvoir visualiser les 365 jours de l’année et de ne pas pouvoir commencer à annoter certaines choses dès le départ. Voilà pourquoi, au bout d’un certain temps, j’ai laissé tomber mon BuJo. À la place, j’ai adopté MyAgenda365 qui, avec quelques ajouts, me convient parfaitement.
Même si le BuJo n’a pas comblé mes attentes, il faut bien reconnaître que c’est un outil pouvant répondre aux besoins de différentes personnes. C’est pourquoi, dans le cadre de l’éco-défi Gérer son temps de manière durable, j’avais envie de laisser la parole à des adeptes du BuJo. J’espère que leurs témoignages seront utiles à celles et ceux qui cherchent encore leur « agenda » idéal ou bien à celles et ceux qui veulent en savoir plus sur le BuJo avant de se lancer.
J’utilise la méthode du Bullet Journal depuis juillet 2017
Avant, j’utilisais un agenda ! Le seul « avantage » (mais ce n’en est pas un …), c’est que la mise en page est déjà faite. J’avais aussi des milliards de carnets : un carnet à listes, un carnet à idées diverses, un carnet pour mes menus de la semaine… Maintenant je fais tout dans mon bullet journal et c’est beaucoup plus simple !
J’ai décidé de tester le Bullet Journal parce que ça avait l’air de répondre exactement à mon besoin d’organisation intense mais simplifiée par rapport à mes carnets multiples. Au départ j’étais un peu effrayée parce que ça avait l’air super compliqué ! Sur YouTube il y a toute une communauté de gens qui font du « BuJo » et c’est souvent de petites œuvres d’art – j’avais l’impression qu’il fallait être dessinateur et y passer un temps fou ! Et puis j’ai vu la vidéo de Solange te parle sur son bullet journal tout simple, et j’ai décidé de sauter le pas. Comme elle, j’ai pris le premier carnet que j’ai trouvé et c’était parti ! Je me suis rassurée et inspirée en cherchant des idées avec les mots clés « minimalist bullet journal » pour éviter tous les trucs à fanfreluches…
Grâce au Bullet Journal j’ai nettement augmenté ma productivité ! Le bullet journal, c’est la répétition des tâches à faire, donc impossible de les louper… On rentre la tâche d’abord dans le « future log » (qui est l’aperçu de toute l’année), puis dans l’aperçu du mois et de la semaine. Comme ça je suis obligée de le faire ! Sans bullet journal, je n’aurais peut-être pas lancé ma chaîne YouTube, je me serais laissé gagner par la flemme… Alors que là, c’est très simple d’organiser le tournage, puis le montage et enfin la publication.
Il m’aide également à m’organiser au niveau de mes achats car je fais un tracker de mes dépenses et des listes des choses qu’il faut que j’achète (pour la maison, pour ma garde-robe…) ce qui m’a permis de faire des achats plus réfléchis ! Notamment, pour Noël, avoir une liste d’idées de cadeaux que je remplis au fur et mesure de l’année, quand ça me vient, m’a évité le shopping de Noël de dernière minute dans les grandes enseignes pas écolos du tout.
D’un point de vue écolo, j’ai tout dans un seul carnet au lieu d’en avoir plusieurs en plus des feuilles volantes de to do lists que je finissais forcément par jeter. Je pourrai désormais archiver mes bujo par année quand je les aurai finis. J’ai parfois besoin de me souvenir à quelle date j’avais fait telle chose et puis j’aime relire mes moments de gratitude des journées passées.
Ce qui me plaît le plus avec le Bullet Journal c’est la liberté absolue ! On fait sa propre mise en page et on ajoute ce qu’on veut. J’aime notamment beaucoup les trackers qui me permettent de noter chaque jour si j’ai pris mon vélo pour aller travailler, si j’ai pris le temps de m’hydrater, si j’ai bu de l’alcool, etc. À la fin du mois j’ai un aperçu très clair et je peux voir facilement la chose sur laquelle il faut que je fasse des efforts. J’adore aussi la simplicité que ça m’apporte : j’ai tout dans un seul carnet, je n’ai plus besoin de fouiller pour me souvenir où j’avais bien pu mettre telle liste, et je n’oublie plus rien (j’avais tendance à oublier de consulter mon agenda). Dernier point très positif pour moi, le BuJo m’oblige à me poser un peu. Tous les soirs, je remplis une liste de mes gratitudes de la journée et la liste des choses à faire pour le lendemain que je relis au réveil. Je ne pratique ni la pleine conscience ni la méditation, du coup c’est mon moment « pleine conscience » à moi !
Ce qui me plaît moins ce sont certains aspects de la communauté BuJo : à la base, c’est un outil pour se simplifier l’existence et j’ai parfois l’impression que ça devient l’inverse ! Je vois parfois des gens qui ont deux carnets, un bullet journal officiel pour les photos et un « brouillon » pour essayer les mises en pages et les illustrations avant… plus une panoplie complète de stylos et crayons divers. Pas très écologique ni minimaliste ! Je regrette aussi un peu qu’il y ait un tel jargon anglophone (même si je suis la première à l’utiliser…) car je crains que certains soient rebutés alors que c’est vraiment un outil merveilleux !
À celles et ceux qui souhaiteraient tester le Bullet Journal, je conseillerais de se lancer sans attendre ! Pas besoin d’avoir un carnet tout neuf ni de finir celui en cours ni que ce soit le mois de janvier… C’est la magie du bullet journal : il est complètement adaptable. Prenez le premier carnet que vous trouvez, par exemple votre beau « carnet à listes » dans lequel vous aviez mis trois listes en janvier 2015 et que vous n’avez pas touché depuis, arrachez (ou non) les pages déjà écrites, et commencez !
N’hésitez pas non plus à changer les choses en cours de route, par exemple votre mise en page si elle ne vous plaît plus. Personnellement, j’ai ajouté des trackers et enlevé la page de menus que je faisais pour l’intégrer à mon aperçu hebdomadaire… Ça viendra au fur et à mesure, et vous trouverez ce qui vous convient. Testez plein de choses et amusez-vous !
La seule chose à éviter à mon avis c’est de rester bloqué sur une seule chose. Si l’idée d’une nouvelle page vous vient en cours de route (par exemple une page où vous noteriez tous les films que vous avez vus dans l’année) et qu’on est déjà en octobre, peu importe, commencez-la, n’attendez pas le début de l’année suivante. Ne restez pas bloqué sur la superbe mise en page de telle blogueuse si vous n’arrivez pas à la reproduire ou qu’elle ne vous convient pas à l’usage. Faites votre bullet journal à votre image ! Ne vous laissez surtout pas décourager par les images et les vidéos de bullet journal super compliquées sur lesquelles vous pourrez tomber. Il y en a de beaucoup plus simples !
Comme astuces écolos, je vous conseillerais bien sûr d’abord d’upcycler ce que vous avez déjà (un vieux carnet à moitié vide et les stylos que vous avez) plutôt que d’acheter du neuf. Si vous n’avez rien ou que vous avez fini votre vieux carnet, achetez plutôt du matériel écolo !
Voici les ressources que je vous recommande :
- Je vous conseille pour commencer la vidéo de Solange te parle
- Cet article de Natasha pour trouver des crayons et stylos écolos.
- Le Leuchturm 1917, un carnet très connu pour la pratique du bullet journal dont la couverture est en simili-cuir et le papier sans acide. Je ne sais pas s’il est au top niveau écologie, mais c’est le mieux conçu pour la pratique du bullet journal à ce jour.
- Le site officiel du créateur du bullet journal (en anglais) :
- Et pour l’inspiration, le compte instagram Minimalist Bujo.
C’est largement suffisant ! Sinon, vous pouvez vous amuser à faire des recherches sur YouTube ou sur votre moteur de recherche (psst… pensez à Ecosia !) avec les mots-clés « minimalist bullet journal » pour ne pas se retrouver noyé sous les bujo fleuris.
☛ Découvrez gg Guillemette, la chaîne YouTube de Guillemette.
J’utilise la méthode du Bullet Journal depuis un peu plus d’un an maintenant.
Avant, j’utilisais un agenda classique, très souvent celui offert en fin d’année par le magasin bio où nous faisons nos courses. Le format d’une semaine par page ne me laissait pas assez de place et je me retrouvais bien souvent à écrire dans tous les sens sur la page, dans la marge, etc… J’y notais exclusivement ce qui avait trait à ma vie professionnelle, et je n’avais pas de système efficace pour mes rendez-vous perso. Je les notais ici et là, sur des post-it que je perdais trop souvent et j’essayais de les garder en mémoire : c’était une source de stress importante et inutile ! De plus, ce système manquait pour moi de flexibilité, puisque je n’avais jamais de page pour y noter mes réflexions, coller des tickets de musée… J’avais donc à côté un cahier de souvenirs, mais je ne prenais pas assez le temps de le compléter à mon goût.
J’ai décidé de tester le Bullet Journal parce qu’une amie le testait et aimait bien ! J’avais déjà entendu parler de ce système, sans m’y être intéressée en profondeur. Cette amie, qui a trois enfants et donc un emploi du temps plus que bien rempli m’a dit qu’elle aimait beaucoup sa simplicité et son efficacité. J’ai regardé quelques vidéos en ligne, et j’ai tout de suite accroché à la flexibilité de ce système. J’ai donc décidé de tester avec un cahier que j’avais récupéré chez ma grand-mère.
Grâce au “Bullet Journal”, j’ai un outil qui me permet de regrouper tout ce que j’ai toujours souhaité rassembler :
- mes RDV et ma to-do list perso et pro, jour par jour
- mes objectifs pro et perso
- un cahier de souvenirs où je colle mes tickets d’entrée de musée, quelques dessins de Petit Lutin, des photos… sur la page des jours correspondants
- un calendrier annuel, avec les événements prévus sur l’année à l’avance
- un calendrier mensuel, avec les événements du mois
- un outil pour la phase écriture de mon rituel matinal
Je ne stresse donc plus de peur d’oublier mes rendez-vous puisqu’ils sont tous notés au même endroit, dans un cahier que je consulte tous les jours lors de mon rituel du matin. Au-delà de cela, j’utilise aussi mon bullet journal pour écrire mes aspirations, mes envies. Cela me permet d’y voir plus clair, car j’ai toujours envie d’entreprendre bien trop de choses par rapport à ce que je peux réellement faire. Ainsi, je peux faire des choix éclairés sur ce dont j’ai le plus envie. Ensuite, au quotidien, croiser ces pages “envies” régulièrement dans mon bullet journal m’aide à dépenser mon énergie dans cette direction au lieu de partir dans tous les sens. J’ai donc plus de facilité à concrétiser les projets qui me tiennent le plus à cœur et je m’évite la pénible sensation de me lancer plein d’objectifs sans en finaliser aucun. C’est une sorte de minimalisme immatériel qui m’aide beaucoup à gérer mon temps au quotidien, à l’allouer à ce qui est vraiment important pour moi, cela sur la durée.
Ce qui me plaît le plus avec le Bullet Journal c’est sa flexibilité : c’est un simple cahier que l’on module suivant nos besoins. Il est différent d’une personne à l’autre et dans le temps pour une même personne. C’est un réel atout je trouve, qu’aucun agenda pré-conçu n’a jamais pu m’apporter.
Ce qui me plaît moins avec le Bullet Journal c’est… rien ! Puisque je fais en sorte de le moduler de la façon qui me convient.
À celles et ceux qui souhaiteraient tester le Bullet Journal, je conseillerais de faire simple ! OK, un superbe bullet journal, avec des dessins sur chaque page digne des lettrines du Moyen Âge, c’est joli. Mais ça prend du temps, énormément de temps. Alors, à moins que dessiner tous les jours soit un de tes objectifs, le meilleur conseil est d’aller au plus simple. Sobre et joli peuvent aller de paire : une jolie écriture pour la date ou une jolie couleur peuvent suffire.
☛ Découvrez Clémentine La Mandarine, le blog de Clémentine.
J’utilise la méthode du Bullet Journal depuis un an.
Avant, j’utilisais un agenda classique dans lequel je notais mes rendez vous. Il avait l’avantage d’être pratique et de ne pas trop changer mes habitudes par rapport à un agenda d’étudiant où je ne notais que les tâches à faire. Cependant, avec ce système, je ne m’y retrouvais pas car je ne pouvais pas beaucoup le personnaliser. Je m’en servais comme outil personnel, intime parfois car il m’arrivait d’écrire dedans, mais il restait froid, sans âme et sans personnalité. Je ne me reconnaissais pas dans ce système, il ne me correspondait plus. Je pense qu’il était trop rigide pour moi, mais je n’avais toujours connu que ça depuis l’école alors j’ai commencé à le décorer petit à petit, à personnaliser les pages, à ajouter des to do list quotidiennes, à rajouter des pages aussi. Je suis donc passée progressivement au bujo, seulement quand j’ai été prête à la nouveauté et cela m’a rassurée.
J’ai décidé de tester le Bullet Journal parce que j’avais besoin d’évoluer et que je désirais plus de flexibilité dans ma prise de notes quotidiennes. Mais aussi parce que j’arrivais à un moment dans ma vie où je me sentais submergée, où mon organisation ne fonctionnait plus. J’étais prête à essayer un nouveau mode de fonctionnement alors j’ai fait des recherches sur l’organisation et je suis sortie de ma zone de confort pour la première fois.
Mon premier BuJo, je l’ai préparé à l’avance sur l’année et j’avais commencé par mettre les listes dans un autre carnet, puis je me suis rendu compte que ce n’était pas pratique alors j’ai rajouté des feuilles volantes pour ma LAL (liste à lire) entre autre et puis il y avait des pages vides et d’autres trop petites, donc j’ai retrouvé le même facteur limitant que dans l’agenda que je venais de quitter. J’ai sans doute eu trop peur de tout changer d’un coup !
Même si je trouve mon BuJo 2017 plein de défauts, il était nécessaire pour moi. Il a évolué dans l’année et il évoluera encore tout au long de ma vie (si j’en utilise un toute ma vie). Il évolue en fonction des périodes de ma vie, de mes besoins, de mes envies et pour moi, c’est vraiment le point fort duBuJo : il évolue avec moi grâce à une liste des choses à changer que je note à la fin. Il me reflète moi dans mes doutes, mes attentes, mes ambitions, mes évolutions personnelles.
Pour 2018, j’ai déjà changé plein de choses, j’ai rajouté un future log, j’ai mis mes listes à la fin du carnet en le prenant à l’envers, j’ai fait une to do list hebdomadaire et non quotidienne parce que je trouvais ça trop limitant et intimidant. Je me mettais la pression pour avoir complété toutes mes tâches dans la journée, même quand je ne le pouvais pas pour des raisons diverses et variées. J’ai aussi amélioré mon monthly log car j’adore sa forme en cercle continu mais je le trouvais trop surchargé par ma manière d’annoter les choses. Ou encore j’ai supprimé des doublons comme les anniversaires que je me notais sur le monthly log et sur les pages quotidiennes.
Grâce au BuJo, j’ai grandi. J’ai optimisé mes temps de corvées. Je me suis mis en place des routines de ménage (1 zone par jour pendant 30/45 minutes) plutôt que de tout faire le week-end et de reprendre le travail en ayant l’impression de ne pas avoir eu de coupure. Petit à petit, je me suis rajouté des routines bien-être le soir, puis je les ai transférées le matin grâce au miracle morning qui consiste pour moi en une séance de yoga, 10 minutes de méditation, et le ménage de la zone du jour.
Désormais, quand je rentre le soir je n’ai que le repas à préparer (et encore souvent je cuisine le week-end pour être plus tranquille la semaine) et cela me laisse du temps pour répondre à mes correspondantes ou écouter des podcasts de développement personnel tout en prenant des notes, ou bien de vaquer à des occupations pour moi (dessin, peinture, couture, lecture, etc.). Du temps que je n’avais jamais avant, ce qui me manquait et qui provoquait chez moi un mal-être persistant. En fait, je crois qu’il m’a permis de me rendre compte que finalement tout ce que j’avais à faire n’était pas insurmontable. Je pense que je n’y serais pas arrivée seule, j’avais besoin d’aide et je l’ai trouvée dans les articles parlant du BuJo, puis dans leBuJo lui-même.
Le bullet journal est un outil qui me sert à tout : organiser mes activités, mes sorties, mes tâches ménagères, à me défouler car c’est un support pour l’écriture des moments heureux et plus difficiles, à me rappeler des choses (les anniversaires notamment), etc. C’est pour moi un outil polyvalent qui m’a permis de rentrer dans ma vie d’adulte, de développer mes propres valeurs, de me rendre compte que je faisais bien plus de choses que ce que je pensais.
Ce qui me plaît le plus avec le BuJo c’est sa polyvalence et le fait qu’on puisse le personnaliser à sa guise. Le mien est plutôt sobre mais si j’ai envie de dessiner sur une page je le fais et si j’ai envie que la page suivante soit épurée, elle l’est. Il reflète vraiment mes états d’âmes à l’instant T.
Ce qui me plaît moins avec le Bullet Journal c’est tout ce qui est autour : l’aspect marketing, la pression qu’on peut ressentir quand on regarde les BuJo des blogueuses, les comptes Instagram ou Pinterest pour avoir des idées. On voit beaucoup de choses sublimes et souvent ça nous met la pression. Une amie m’a dit que « c’était trop beau et inaccessible » pour elle. Je pense qu’elle en est tout à fait capable, surtout qu’elle est à la recherche d’une autre organisation que celle proposée par un agenda classique, mais qu’elle se met des barrières parce qu’elle se compare trop aux autres. Je pense que j’ai fait pareil pendant un bon moment…
À celles et ceux qui souhaiteraient tester le Bullet Journal, je conseillerais de le faire à leur image personnelle, de ne pas se mettre de pression, de choisir un carnet qui leur plaît et qu’on aura plaisir à utiliser toute l’année. Pour moi ce sont souvent des paperblanks parce que je les adore. Pour 2017, j’en avais un ligné. C’est pratique pour écrire mais un peu moins pour les tableaux (que j’utilise beaucoup), donc pour 2018 je tente un carnet à pointillé que j’ai trouvé dans une petite boutique. Je l’ai choisi pour sa couverture simple en velours bleu mais je trouve les pages un peu fines donc je verrai à l’usage.
Je pense qu’il faut éviter de préparer trop de choses à l’avance, c’est ce que j’ai fait et je l’ai regretté parce que j’ai évolué entre le moment où je l’ai préparé et le moment où je l’ai utilisé. J’ai eu envie de changer plein d’aspects en cours de route mais je ne pouvais pas parce que j’avais préparé toute l’année trop tôt. Pour parer au manque de place pour noter les événements dans le futur (plus ou moins lointain), je pense qu’un future log pensé par rapport à vos besoins peut être la solution.
Personnellement les codes couleurs m’aident beaucoup, mais suite à un article de Natasha je me suis fait offrir un beau kit zéro déchet (porte plume en bois avec plusieurs plumes pour varier les écritures, encres de différentes couleurs dans des pots en verre) et j’ai échangé les surligneurs pour des crayons de couleurs que je remplacerai par une marque plus écologique quand j’aurai fini ceux que j’ai. L’inconvénient avec ce système c’est qu’il faut faire attention à la qualité du carnet utilisé car l’encre est plus épaisse et plus traversante qu’avec un stylo à bille par exemple. Il faut donc des pages à haut grammage.
Un blog qui m’a beaucoup servi lors de mes premières recherches, c’est celui de Magalie. Bien qu’elle ait stoppé son blog depuis peu, je pense qu’il y a beaucoup d’articles donnant de bonnes bases pour changer son organisation. Elle utilise un classeur maison, donc un système différent de celui du bujo, mais certaines parties peuvent très bien être adaptées. J’ai longuement hésité entre un classeur annuel et un carnet, les deux ont pour moi de gros avantages, notamment les listes qu’on n’a pas besoin de recopier quand on change de carnet. J’ai toutefois fait le choix de la seconde option par amour de la papeterie et parce que je me suis demandé comment stocker les pages de l’agenda classeur une fois l’année finie. Je n’ai trouvé aucune réponse qui me satisfaisait car j’aime beaucoup avoir mes agendas ou carnets dans une boîte de ma chambre et pouvoir me replonger dans ma vie passée de temps en temps pour voir mon évolution (ou mes régressions sur certains points).
Le plus important je pense, dans ce que j’ai dit, c’est surtout d’être vous-même et de ne pas vous mettre la pression pour faire un bullet journal. Il faut réussir à le faire comme on le veut pour qu’il nous soit le plus utile possible et réussir à s’affranchir de la pression des réseaux sociaux et des images de bujo parfaits qu’on peut voir partout.
J’ai commencé mon premier bullet journal il y a 4 mois, suite à un de tes articles où tu présentais MyAgenda365, et j’en suis ravie! Je me reconnais bien dans les 3 témoignages de cet article: l’insatisfaction à utiliser les agendas tout prêts, le besoin d’avoir un outil qui regroupe toutes les paperasses. Mon BuJo a déjà un peu évolué en 4 mois, afin de mieux correspondre à mes besoins.
C’est un outil pratique, adaptable, et pour moi vite devenu indispensable.
Ce que j’apprécie également, c’est que j’ai toujours gardé mes vieux agendas mais qu’ils ne reflétaient quasiment que mon activité professionnelle. Désormais, je note tous les petits plaisirs du quotidien, ce qui est gratifiant : je ne fais pas que travailler, mais j’ai aussi plein d’activités et de loisirs dont je suis contente de garder une trace.
Et bien sûr, depuis 14 jours, dans le cadre de l’éco-défi, j’ai aussi une double-page consacrée à l’étape 1 « Observer ses semaines actuelles ». ☺
Merci encore pour cette découverte, qui m’aide vraiment au quotidien! ☺
Très intéressant, et les liens sont très bien.
J ai essayé le bullet journal à plusieurs reprises car j ai une grosse tendance à accumulé les carnets, les To do list etc…
Mais sans partie agenda je me perd. J ai donc fais un hybride : un cahier dans lequel je garde toujours un petit calendrier annuel c’est pratique et ça reste moins encombrant que plusieurs cahiers.
En revanche je n arrive jamais à rester sur des jolies graphismes, mon prochain objectif.
En tout cas cela me permet d oublier moins de choses et d avancer plus efficacement dans mes projets.
Bonsoir,
Articles intéressant! J’ai testé l’agenda, pas pour moi! Comme toi pour le bujo, tracé les lignes même sans fioritures je n’ai pas tenu et ça devenait un vrai brouillon! J’ai hésité à acheter le myagenda….j’en ai pris un autre, mais j’ai l’impression que ça ne va pas le faire et nous sommes en janvier! Quelles sont les avantages du myagenda?
J’avais présenté MyAgenda dans cet article si tu souhaites en savoir plus.
J’ai commencé le bullet journal il y a un peu plus d’un an et cela m’a beaucoup aidé : fini les to-do list du jour sur des feuilles volantes ^^
Par contre j’ai remarqué que je l’utilisais beaucoup (au quotidien) pendant les périodes de non-activité professionnelle. J’organise mes journées, je fais pas mal de choses variées (à la fois pour mon bien-être et dans le cadre de la recherche d’emploi). Par contre quand je suis en période d’emploi, mes journées ne sont pas organisées pareil. Du coup je l’utilise très peu, je note des choses à suivre ou faire pour le mois et parfois des to-do list pour les dimanches et les lundis.
Avec du recul, cet aspect adaptable est vraiment avantageux. Même si au début j’avais l’impression de ne plus rien faire, de ne plus être productive à la maison ou de ne plus m’occuper de mon bien être lorsque je travaillais … c’est juste que je planifie moins ou simplement que je note moins de choses car je les fait directement.
J’ai utilisé le système des trackers pendant un temps et puis ça ne m’a plus convenu, j’avais l’impression de me mettre la pression et de me juger chaque jour.
Bonjour Natasha,
Merci pour cet article et ces témoignages inspirants. C’est rigolo, j’ai découvert il y a quelques mois l’existence du bujo, et je me suis dit que ce n’état pas pour moi, que ça avait l’air de prendre trop de temps pour un outil censé servir à en gagner (paradoxalement !), et tout ce vocabulaire anglais m’a rebutée…
Et début janvier, je me suis mise à avoir envie d’utiliser un carnet plutôt que des feuilles volantes pour écrire les choses à faire, et pour améliorer mon organisation, alléger ma tête de ce qu’il faut retenir afin de ne plus oublier ce que je dois/j’ai envie de faire.
Pourtant, je ne ressens pas le manque de temps pour faire ce qui me plaît, c’est surtout pour ne rien oublier. J’ai donc choisi un petit carnet qui faisait partie de mes cadeaux de Noël et qui est tombé à pic, pour y inscrire ce qui me vient.
Pour l’instant je fais semaine par semaine, sans suivre de règles du bujo et sans déco ni code couleur particulier (je m’en sers pour le côté pratique avant tout), et je n’y ai pas mis non plus de listes « durables » (listes de plats à cuisiner, de choses à emporter en vacances, etc.), je préfère les garder pour un carnet que je garderai, et pouvoir jeter celui-ci quand il sera rempli. En clair, je me suis fait un mini-bujo, et pour l’instant j’en suis plutôt satisfaite ! 🙂
J’espère que cet article pourra aider beaucoup de monde à se lancer sans pression, à trouver un outil pratique et agréable à utiliser.
Bonne soirée !
Bonjour Guillemette,
Merci pour ta réponse et pour le lien vers cette BD très bien écrite ! Du coup ça va quand même dans le sens de ce que je voulais dire : puisque ce sont majoritairement les femmes qui ont le fardeau de cette charge mentale, ce sont elles qui ont le plus besoin du bujo ! Et ce monsieur qui a inventé le concept, s’est-il dit qu’il serait utilisé de façon unisexe ?…
Ah oui, et un truc me dérange avec le bujo et autres carnets d’organisation, c’est que ça ait l’air d’être exclusivement féminin… Parce que, finalement, les femmes savent moins bien s’organiser que les hommes, ou parce que c’est aux femmes de tout retenir et de tout faire !?
Bonjour Elsa , je rebondis sur ta dernière phrase parce que ça me semble intéressant comme débat 🙂 J’en ai parlé avec mon conjoint récemment et ce qu’il m’a expliqué c’est que lui ne ressentais pas le besoin de s’organiser pour avoir du temps rien que pour lui et ses activités. Il m’a dit que le tableau que j’ai fais à la maison pour que chacun note ses rendez-vous dans la semaine lui suffisait. Alors que moi j’ai besoin d’etre productive, de m’organiser en quelque sorte de prouver que je suis capable de faire plein de chose en plus de gérer la maison (ma part du moins) et le boulot lui s’en moque totalement…
Du coup je me demande si le BUJO n’est pas un outil utilisé majoritairement par des femmes parce qu’on met sociétalement plus la pression sur les femmes pour gérer la maison un métier parfois prenant et avoir des activités en dehors de tous ça…
Désolée pour ce hors sujet sur le thème du bujo j’avais envie de réagir parce que ta réflexion je l’ai eu aussi il y a quelque temps…
Merci pour ton rebondissement intéressant !
C’est vrai que mon conjoint écrit aussi ses rendez-vous à ne pas manquer sur un calendrier, mais les choses à faire (appeler SFR, acheter une pile, réserver une sortie…) qui peuvent nous concerner tous les deux, c’est plus moi qui suis censée m’en souvenir et les écrire quelque part ! Et je pense que je ne suis pas un cas isolé, si ?
Je penchais dès le départ (forcément 😉 ) pour l’hypothèse de la femme qui doit tout faire plutôt que pour celle de la femme qui ne sait pas s’organiser, mais tu confirmes avec cette pression sociétale qui nous pousse à gérer la maison. J’ai fait quelques petits pas pour avancer en dressant une liste de ce que je fais/ce qu’il fait et on a fait basculer quelques tâches soit au milieu, soit de son côté !
Si tu es un cas isolé je le suis aussi ^^
Si tu es un cas isolé je le suis aussi ^^
Bonjour Elsa,
Je ne pense pas que ce soit féminin non, d’ailleurs le créateur du système est un homme. Je pense en revanche que la charge mentale est un fardeau féminin et que du coup les femmes ont plus de choses à organiser que les hommes, tout simplement. Voici une BD expliquant ce qu’est la charge mentale: https://emmaclit.com/2017/05/09/repartition-des-taches-hommes-femmes/
bonjour , il y a une difference entre le my agenda 365 et le my 2018 ?? …j’ai peut être raté l’info… merci
sinon, j’ai trouvé ce lien en faisant une recherche pour moi concernant le rasoir de sûreté 😉
My365 va de septembre à août et My2018 va de janvier à décembre. Ils sont également conçus un peu différemment- My365 est plus orienté « scolaire » et l’autre plus « rendez-vous ». J’utilise la version scolaire personnellement (il faudra attendre l’été prochain pour le nouveau).
Merci pour le lien !
Bonsoir Natasha,
Je me suis penchée sur la conception d’un Bujo il y a un quasi jour pour jour ! C’est drôle ! Ce qui me plaisait alors et que j’applique depuis :
– la numérotation des pages et l’indexation du carnet
– pouvoir allier le côté journal créatif et le côté journal « intime » en notant les moments forts de mon quotidien.
Pour cela, j’utilise un carnet que j’avais depuis un bout de temps déjà (utilisation de mes stocks accumulés lors de mes périodes compulsives) et l’agrémente au fur et à mesure.
Dans mon sac à main, j’ai un autre petit carnet dans lequel je note mes coups de cœur, les choses qui me font envie. Celui-ci aussi est indexé.
L’inconvénient pour moi du BUJO est qu’il peut très vite devenir hyper chronophage et envahissant voir paralysant.
Je n’ai pas testé le Bujo, parce que je n’en ai pas ressenti le besoin, et parce que je crains que mon perfectionnisme me pousse à privilégier la forme par rapport au fond…
En lisant les témoignages, je me rends compte que j’ai quelque chose qui y ressemble un peu, dans mon téléphone:
-il y a un agenda connecté, qui permet à toute la famille (nous sommes 5) d’ajouter des évènements en temps réel: ça c’est super pratique: si je veux programmer un diner avec une amie, je vois quels soirs sont libres et 2 mn plus tard, le reste de la famille voit quelle soirée ne l’est plus.
-je regarde en début de semaine le contenu des jours à venir, et j’y reviens parfois en cours de semaine.
-je peux mettre des alarmes (dont je me sers peu, puisque je note tout sur l’agenda, même « prendre RDV chez le dentiste » en comptant le temps de délai des RDV…)
-il existe un onglet « notes » dans lequel j’ai mis plusieurs listes, que j’aime beaucoup mettre à jour régulièrement: musiques à ajouter sur ma playlist, idées de livres à emprunter à la médiathèque, idées de cadeaux pour tous mes proches, listes d’envies pour moi, liste des mes vêtements (pour qu’un éventuel achat corresponde à mes besoins)…
En ce qui concerne les listes de choses à faire au jour le jour (j’en vois une, là, sur mon bureau), j’aime qu’elles soient écrites sur du papier (envers de diverses feuilles A4 reçues et coupées en 4), pour pouvoir rayer ce qui est fait (je trouve ça très satisfaisant).
J’ai lu que certaines aimaient écrire et se relire quelque temps plus tard, ce n’est pas mon cas (pour le moment en tous cas).
Il me reste deux carnets:
-celui sur lequel je note toutes mes lectures (juste le titre et l’auteur): ça me permet de les retrouver pour en parler, et pour offrir des livres. Je me suis rendue compte que cette façon de faire m’avait aidée à ne plus avoir besoin d’acheter les livres que je lisais, pour en garder la « mémoire ».
-celui qui contient les passages de livres et d’articles qui m’ont marquée (dans le registre « bien vivre, éducation, soin de soi ») et que je relis de temps en temps.
Bonjour, J’utilise un bullet journal depuis maintenant un an et après quelques tâtonnements, il correspond à 90 % à mes besoins. Je m’en sers à ce jour uniquement pour mon organisation privée (agenda au travail .. qui reste au bureau le soir, important pour moi de pouvoir couper du professionnel en rentrant) : c’est surtout l’aspect to do list qui me plait et me permet d’avancer sans rien oublier. Je ne suis grande utilisatrice du tracker mais j’apprécie le système de collection que je crée en fonction de mes besoins, à savoir ce que je ne retiens pas (exemples : liste des livres prêtés / empruntés, argent avancé, ) ou pour m’organiser (cadeaux de Noël…)
Comme beaucoup, je ne souhaite pas que cela me prenne du temps donc très peu de fioritures, uniquement si cela peut me détendre d’en réaliser.
Le seul point négatif pour ma part (lié au carnet choisi) est son poids. Je ne l’emmène jamais avec moi donc pour la partie agenda, je double avec celui du téléphone portable.
Par curiosité, je vais lire ton article sur le Myagenda du coup !
Belle journée à tous !
J’utilise des carnets depuis très longtemps, et je pense que chacun d’entre eux a évolué avec moi. Lorsque j’ai entendu parler du BuJo, il y a un moment déjà, j’ai jeté un oeil et me suis renseignée, mais je n’ai pas été convaincue. J’ai juste l’impression que c’est ce que je fais déjà avec mes carnets. Et puis niveau boulot, je suis obligée d’avoir des carnets séparés pour certaines choses, alors… Le BuJo, ce n’était juste pas pour moi. Quand j’y pense, j’ai l’impression que je perdrais plus de temps à le décorer, à le rendre beau, qu’à en gagner. Je me contente donc de mon carnet qui pour l’instant me suffit, et qui suit un peu le même principe. 😉
Je trouve dommage que tu es abandonnée le bujo 🙁 Car l’avantage c’est de justement de pouvoir moduler comme on veut. Et personnellement le calendex, monthly et tout et tout ça me convient pas DU TOUT ! Alors du coup j’ai fait à ma sauce, et justement j’avais le même problème que toi et du coup j’ai fait moi même ma vision de l’année 😀
bonjour,
pour ma part je ne suis pas trés manuelle mais le BUJO me faisait trés envie j’ai essayer dans un de mes carnet mais cela ne l’a pas fait. j’ai adopté cependant le mémoniak dans lequel j’ai une vision mensuelle deja faite, j’ai ensuite des semaines avec les menus des jours et les listes de cours accroché j’ai également des to do list plus des autocollants et des post it. j’aime enormement ce système que j’ai depuis un an et demi et je compte pas en changer d’aussi tôt.
Je n’accroche pas du tout au bujo, je trouve ça très complexe et je n’arriverais pas à m’astreindre à une telle discipline, en plus je ne suis vraiment pas douée en dessin. L’agenda de mon téléphone et un petit carnet de note me conviennent parfaitement. En revanche, il y a des comptes magnifiques sur IG autour du bujo. Du coup je l’associe plus à une oeuvre d’art qu’à un outil d’aide à l’organisation mais ça c’est fonction de chacun.
Comme je le dis dans mon témoignage, inutile d’être douée en dessin pour faire un bujo! Je ne dessine absolument pas dedans, je n’ai qu’un stylo et une règle et ça me convient parfaitement. En terme de discipline, c’est seulement 5 minutes chaque soir… Rien de compliqué, c’est beaucoup plus simple qu’il n’y paraît!
J’ai essayé avec un bujo déjà imprimé pensant qu’en enlevant la partie illustration ça me conviendrait mais je n’ai tenu que 2 semaines. En fait comme j’ai tout en tête le bujo ne m’apporte rien et au final ça devient une contrainte pour moi. Après chacun à sa façon de fonctionner et le plus important de trouver ce qui est le plus adapté pour nous 🙂
Merci Natasha pour cet article intéressant et ces témoignages! L’année dernière je m’étais fait mon bujo à partir d’un carnet moleskine tout blanc. Ca m’avait pris du temps mais j’avais beaucoup aimé faire ça! Mais cette année j’ai craqué sur My2018 agenda, que j’ai demandé à me faire offrir à Noël. Il est très joli et bien pensé même si pour l’instant je ne vois pas comment je vais utiliser toutes ses fonctionnalités…
Bonne journée!
J’avoue que je connaissais le nom sans vraiment savoir quel était le principe du « bullet journal ». Ca me donne envie d’essayer car en ce moment je ne suis pas non plus satisfaite de mon organisation quotidienne. Merci pour ces partages d’expériences !
Je trouve que c’est très bien pour les personnes affairées. Mais comme j’ai décidé de ne pas être productive, je n’en utilise pas. J’ai un agenda classique, bien sûr, sur lequel je note mes rendez-vous et j’utilise les zones non écrites pour y mettre des listes ou des rappels. Mais j’ai fait découvrir le bullet journal à des personnes à qui cela a servi. Mais pour moi, non, car j’assume totalement le fait de n’être pas parfaite, d’oublier des choses, de ne pas arriver à tout faire et, d’ailleurs, je n’ai pas envie du tout d’être parfaite.
Merci pour votre article.
Bonne journée.
Quand je lis que Justine fait 1 zone de ménage par jour pendant 30/45 minutes, si c’est sur une semaine ça fait quasi 4 heures de ménages par semaine, ça me paraît énorme !! Alors ok je partage ça avec le chéri, mais on ne fait pas ça à deux fort heureusement.
Sinon, pour rester dans le thème, j’ai essayé à la maison, mais au final ça ne collait pas, j’ai pris un myagenda en 2017 que je n’ai pas bien complété, et là je repars sur un agenda un peu classique en 2018.
Par contre au boulot j’ai un pseudo bujo, et c’est vrai que c’est pratique pour s’organiser et prendre quelques notes.
Je n’avais jamais compté comme ça :/ ça me paraît beaucoup et pas beaucoup à la fois^^ tous dépend de la taille de la maison et de ce qu’on inclus dans le ménage (je compte le repassage et les lessives dedans)…
Par contre je ne compte « que » du lundi au vendredi le weekend c’est repos ^^