Depuis que j’ai décidé de cheminer vers un mode de vie végane, ma plus grande difficulté reste de faire face aux critiques et aux questionnements plein de jugements de personnes intolérantes et/ou mal informées à ce sujet. Je me sens tellement vulnérable lorsque mes interlocuteurs.rices considèrent mes choix insensés, déséquilibrés, dangereux et/ou extrémistes que je finis par me taire (très souvent), pleurer (parfois) ou m’énerver (rarement). Aucune de ces réactions ne fait avancer la discussion, toutes me prennent une énergie considérable et au bout du compte je me sens terriblement triste et désemparée.
J’aimerais tellement être de ces personnes qui peuvent passer outre les attaques et les provocations de leurs interlocuteurs.trices et leur répondre de manière intelligente et posée, sans se laisser perturber par leurs intentions. Pourtant, quand j’explique mes choix à des personnes qui ont réellement à coeur de les comprendre et de m’écouter, je parviens sans difficulté à leur expliquer le pourquoi du comment. Mais lorsque je me sens attaquée et jugée, et que j’ai face à moi une ou plusieurs personnes qui cherchent des failles dans mon raisonnement, je perds tous mes moyens et je n’ai qu’une envie : mettre fin à la discussion… ce qui n’est pas la meilleure solution.
Même si je ne suis pas du tout du genre à parler de véganisme à tout-va, à critiquer celles et ceux qui pensent et vivent autrement, lorsqu’une tierce personne amène le sujet sur le tapis, il me semble important de ne pas l’ignorer et, quelles que soient les circonstances, de voir ce moment comme une opportunité d’échanges et de partages autour d’un sujet qui me tient à coeur et dont on parle trop peu. Mais pour cela, j’ai encore beaucoup à apprendre, une certaine force de caractère à développer et besoin de pouvoir répondre plus spontanément et posément à certaines questions et répliques.
La lecture de divers ouvrages à propos du véganisme m’aide beaucoup en ce sens car ils présentent le bienfondé de ce mode de vie de manière claire et structurée. Même si ce sont des arguments et des exemples que je connais déjà bien puisque ce sont ceux-là mêmes qui m’ont motivée à devenir végane, je trouve utile de continuer de lire différents livres à ce sujet. Chacun abordant la question d’un angle différent, cela me permet d’élargir ma palette d’exemples et d’arguments et donc de mieux formuler mes réponses en fonction des personnes qui me questionnent. Comme pour tout sujet délicat, je réalise qu’il est important de choisir des mots et des exemples adaptés à la situation et aux repères de notre auditoire, mais c’est parfois tellement difficile de trouver les mots qui feront écho sans créer de chaos ! Mon but n’étant pas de rentrer dans un débat ni de prouver que l’un à tort et l’autre raison, mais bien de me faire entendre, comprendre et respecter dans mes choix.
Jusque-là, la plupart des livres que j’ai lus au sujet du végétarisme, du végétalisme et du véganisme se concentrent sur la présentation d’informations au sujet de la souffrance animale et de l’impact écologique, sanitaire et humain de l’exploitation des animaux. Ces livres mettent généralement l’emphase sur les faits et font essentiellement appel à notre sensibilité, à notre compassion.
Plus récemment, j’ai lu un livre d’un autre genre : Petit Traité de Véganisme de Gary L. Francione et Anna E. Charlton dont l’approche m’a particulièrement intéressée. Dans cet ouvrage, les auteurs reprennent chacun des arguments généralement énoncés par les non-véganes pour justifier la consommation de viande et de produits d’animaux et ils y répondent de manière concise et posée, en faisant appel à la logique et au bon sens.
Leur argumentation s’appuie sur deux principes moraux supposément admis par tout être humain, végane ou pas :
- Nous sommes obligés moralement de ne pas imposer de souffrances inutiles aux animaux
- En dépit du fait que les animaux comptent moralement, les humains comptent davantage
Après avoir introduit ces deux principes moraux, Francione et Charlton nous invitent à nous rappeler de deux incidents qui avaient fait du bruit dans la presse il y a quelques années de cela : le cas de Michael Vick aux USA en 2007 et de Mary Bale en Angleterre en 2010. Tous deux s’étaient vu reprocher d’avoir maltraité des animaux domestiques- des chiens Vick pour et un chat pour Bale. Ces incidents des deux côtés de l’Atlantique avaient soulevé la colère du public même jusqu’en France- un public parmi lequel se trouvaient des omnivores, des végéta*iens et des véganes. Un public outré que l’on puisse faire du mal à des chiens et à un chat pour son seul plaisir ou sans raison. Vick et Bale ont tous deux fini devant les tribunaux et Bale en est ressortie avec une amende ainsi que l’interdiction d’adopter un animal de compagnie pendant 5 ans et en plus d’une amende, Vick s’est vu affliger une peine de prison de 3 ans. Francione et Charlton font régulièrement référence à ces histoires tout au long de leur livre pour justifier leur raisonnement.
Dans la seconde partie, ils reprennent plus d’une trentaine d’affirmations ou questions que les non-véganes utilisent pour s’opposer au végétalisme/véganisme. Si vous êtes végétarien.nes, végétalien.nes ou véganes, vous avez certainement déjà entendu plusieurs de ces phrases… ou peut-être que vous avez vous-même déjà fait des réflexions similaires :
- “Mais… où trouvez-vous vos protéines ?”
- “Mais… ne vais-je pas être carencé en fer si je ne mange pas de viande ?”
- “Mais… ne vais-je pas manquer de calcium si je ne consomme ni lait ni produits laitiers ?”
- “Mais… mes enfants ne vont-ils pas manquer d’iode ?”
- “Mais… j’ai entendu que quelqu’un était tombé malade après avoir abandonné les nourritures d’origine animale.”
- “Mais… Dieu ne veut-il pas que nous mangions les animaux ?”
- “Mais… n’est-il pas “naturel” de manger des produits d’origine animale ?”
- “Mais… que se passerait-il si tout le monde se nourrissait uniquement de végétaux ? Il ne resterait plus assez de terre pour faire pousser les plantes !”
- “Mais… que faire si je me retrouve sur une île déserte et que je meurs de faim ?”
- “Mais… que deviendraient tous ces animaux si on ne les mangeait pas ?”
- “Mais… c’est pour les manger que nous avons fait naître les animaux d’élevage ; ils sont fait pour ça.”
- “Mais… les animaux qu’on utilise pour notre alimentation ne souffre pas autant que les chiens de combats.”
- “Mais… les animaux ressentent-ils la douleur de la même manière que les humains ?”
- “Mais… les poissons ressentent-ils vraiment la douleur ?”
- “Mais… n’existe-t-il pas des lois en faveur du traitement “humain” des animaux ?”
- “Mais… si l’on améliorait les conditions de vie des animaux d’élevage ?”
- “Mais… si l’on traitait aussi bien le bétail que nous traitons nos animaux de compagnie ?”
- “Mais… ne faudrait-il pas d’abord s’occuper des êtres humains ?”
- “Mais… Hitler était végétarien.”
- “Mais… les plantes ne souffrent-elles pas, elles aussi ?”
- “Mais… la consommation de produits d’origine animale fait partie de nos traditions.”
- “Mais… nous nous situons au sommet de la chaîne alimentaire.”
- “Mais… je connais des végétaliens et ils sont moralisateurs (ou hypocrites).”
- “Mais… ce que je mange ne regarde que moi, non ?”
- “Mais… je suis très occupé et il est tellement plus pratique de s’acheter un hamburger.”
- “Mais… les animaux se mangent bien entre eux.”
- “Mais… je n’arriverai jamais à me passer de mon plat préféré.”
- “Mais… ma famille et mes amis seront déçus que je ne consomme plus de nourritures d’origine animale.”
- “Mais… mon compagnon (ou ma compagne) n’accepterait pas mon végétalisme.”
- “Mais… être végétalien, n’est-ce pas difficile et coûteux ?”
- “Mais… je suis trop vieux pour changer de mode d’alimentation.”
- “Mais… que faire si je ne suis pas capable de renoncer immédiatement aux nourritures d’origine animale ?”
- “Mais… consommer des produits d’animaux issus d’élevages plus “humains”, n’est-ce pas un bon début ?”
- “Mais… devenir végétarien, n’est-ce pas un premier pas dans la bonne direction ?”
- “Mais… en acceptant de ne plus manger de viande ni d’autres produits d’origine animale, est-ce que je m’engage également à renoncer à toute autre forme d’exploitation animale ?”
Tout au long de leurs réponses, Francione et Charlton s’adressent aux personnes qui énonceraient ce genre d’affirmations/questions et ils leur démontrent, à l’appui d’exemples et de faits simples, pourquoi ces différents prétextes ne tiennent pas la route– à partir du moment où l’on adhère aux deux principes moraux présentés dans l’introduction et que l’on fait partie des personnes outrées par le comportement de Vick et Bale envers chiens et chat.
Je recommande vivement ce livre aux végé/véganes qui font régulièrement face à certaines de ces réflexions et qui aimeraient trouver les mots justes et convaincants pour y répondre. C’est devenu pour moi un livre de référence qui m’accompagne dans l’amélioration de ma capacité à répondre de manière claire et précise aux personnes qui jugent et questionnent mon mode de vie.
Mais à la base, ce livre s’adresse surtout aux omnivores ouverts d’esprit qui souhaitent réellement comprendre le raisonnement des végé/véganes. Comme le précisent très justement les auteurs dans l’introduction, ce livre n’a pas pour but d’accuser ni de juger qui que ce soit et même si leur manière assez franche et directe de s’exprimer peut en froisser certain.e.s, ils souhaitant avant tout accompagner et pousser chacun.e à la réflexion.
CONCOURS
Les Éditions l’Âge d’Homme offrent aux lecteurs et lectrices d’Echos verts la possibilité de remporter un exemplaire du livre Petit Traité de Véganisme de Gary L. Francione et Anna E. Charlton. Si vous aimeriez avoir cet ouvrage ou même l’offrir, je vous invite à lire attentivement les conditions de participation ci-dessous.
Conditions de participation au concours
- Une seule participation par personne
- Le concours est ouvert aux personnes résident en Europe
- Laisser un commentaire sous l’article en indiquant laquelle des réponses aux 30 et quelques affirmations/questions décortiquées dans l’ouvrage vous intéresse tout particulièrement et pourquoi.
- Remplir ce formulaire pour valider votre participation
- Fin du concours : samedi 4 juin 2016 à 23h59 (heure française)
- Seule la participation des personnes ayant respecté l’ensemble de ces conditions sera validée.
Edit (06/06/16) : la gagnante désignée par tirage au sort est Isciane B.
La citation dont j’aimerais avoir la réponse est celle ci :
« Mais… n’est-il pas “naturel” de manger des produits d’origine animale ?”
Parce que je pense sincèrement le contraire et que justement nous ne sommes pas fait pour manger des produits d’origine animale.
Et j’aimerais avoir d’autres arguments pour expliquer à mon entourage, pour sensibiliser les gens 🙂
Merci pour tous ces articles et pour ce beau concours !! <3
Bonne chance à tous
Bonjour,
Je participe avec grand plaisir à ce concours. Je suis végane depuis peu de temps (environ 8 mois), et c’est toujours difficile pour moi d’argumenter face à des personnes moqueuses voire agressives, et j’aimerais vraiment avoir plus de répondant face à elles, pour essayer de leur donne une prise de conscience.
La question à laquelle il m’est souvent plus difficile de répondre est “Mais… nous nous situons au sommet de la chaîne alimentaire.”. J’ai beau dire que notre situation n’est pas naturelle, que nous ne sommes absolument pas des prédateurs, certains me rétorquent que « c’est comme ça et puis c’est tout » et que si ça n’avait pas été nous, ç’aurait été d’autres animaux qui auraient pris le dessus, ce qui a tendance à m’agacer.
Merci beaucoup pour ce super concours en tout cas, et bonne continuation <3
“Mais… les animaux se mangent bien entre eux.”
J’ai récemment débattu avec ma sœur de ce sujet. En plus de me faire remarquer, lorsque je refuse de participer à l’organisation d’un bbq avec des amis, qu’il ont « le droit » de manger des animaux, que cela les regardent, elle m’a fièrement présenté un contré argument au véganisme. Selon elle : les hommes et les animaux sont différents, car l’Homme connaît le Bien/Mal et applique la morale, ce qui n’est pas le cas des animaux. Par conséquent pourquoi accorder une reconnaissance morale à des être qui en sont dépourvus ?
Woaw ! Pas mal la soeurette !
Elle a au moins le mérite d’avoir construit un raisonnement. Néanmoins, si l’on est réellement supérieurs au reste des animaux car nous possédons la possibilité d’une morale, pourquoi au contraire, ne serions-nous pas dans notre plus grand devoir de l’appliquer sur les autres êtres ?
Bonjour ! Végétalienne depuis peu (moins de deux mois), j’aimerais beaucoup lire ce traité : pour l’instant lorsque je discute avec des « omnivores », j’ai du mal à garder mon calme. Alors que j’utilisais les mêmes arguments qu’eux il y a moins d’un an mais maintenant le végétalisme (et même le véganisme) me parait tellement évident que je ne sais plus comment répondre. Tout ça, pour dire que la réponse que j’aimerais le plus lire est la réponse à la question : “Mais… nous nous situons au sommet de la chaîne alimentaire.” Je ne sais jamais quoi répondre quand on me dit ça ! Merci pour ce concours et bonne journée 🙂
Bonjour, je participe ! Personnellement, la question de la tradition m’intéresse particulièrement, car je trouve souvent plus difficile de débattre avec les carnistes qui avancent cet argument. Sans doute parce qu’ils investissent les produits animaux d’une valeur affective doublée d’un rapport à leur propre identité. Je suis donc curieuse de connaître des moyens efficaces d’engager le dialogue avec eux. Merci !
Bonjour Natasha,
quel bel article encore une fois !
Je m’y retrouve beaucoup et je rencontre également de telles difficultés dans mon domaine de prédilection : le zéro déchet.
Par rapport à ta question/concours. Je suis omnivore mais je mange de moins en moins de viande. Certains diraient que je suis flexitarien, mais je n’aime pas rentrer dans des cases. Je dirais que je suis en transition vers … ?
Il y a beaucoup de « mais » qui me correspondent, mais, je sais très bien qu’ils ne tiennent pas face à de bons arguments (je suis en train de lire Vegan de Marie Laforêt). Je pense qu’il s’agit juste d’une question de renonciation et je n’y suis pas prête. Il y a également des produits « phares » du « régime » vegan que je ne peux/veux consommer pour des raisons de santé, ce qui me complique un peu les choses (je pense au soja). Donc le « mais » qui me correspondrait le plus est « Mais… je n’arriverai jamais à me passer de mon plat préféré » en remplaçant plat par produit. Car il y a un certain nombre de produits d’origine animale (et surtout des produits laitiers) qui me semblent difficile de se passer. La difficulté pour moi est également de trouver des alternatives vegan/végéta*iennes qui soient également zéro déchet.
Moi le livre m’intéresse beaucoup en entier , la plupart du temps j’évite les questions car je ne sais pas argumenter ! La questions qui revient le plus souvent c’est sur les protéines ? De plus c’est un super livre a faire découvrir aux omnis ! Je participe avec plaisirs
Bonjour et merci pour ce concours!
Je découvre l’existence de cet ouvrage grâce à cet article et j’avoue qu’il m’intéresse tout particulièrement. Je suis toujours à la recherche de nouvelles références dans le domaine et celle-ci à vraiment l’air très complète 🙂
Si je devais choisir une des questions, ça serait celle portant sur la souffrance éventuelle des plantes. ( « mais…les plantes ne souffrent-elles pas, elles aussi? » )
Déjà végétarienne à grosse tendance végétalienne, je n’ai plus besoin d’être convaincue en ce qui concerne la défense de la cause animale. Par contre, toujours avide d’apprendre de nouvelles choses et d’avancer dans mon raisonnement, j’avoue que cette question m’intéresse et que je me renseigne à ce sujet depuis un petit moment. Je suis donc curieuse de découvrir ce que ce Petit Traité nous raconte à ce sujet 🙂
Belle journée et bonne chance à tous et toutes
xx
“Mais… que faire si je ne suis pas capable de renoncer immédiatement aux nourritures d’origine animale ?” m’intéresse ! Parce que pour beaucoup de personnes la transition me se fera pas en une nuit et cette réponse est importante pour encourager les gens à initier un changement !
Bonjour !
Encore un petit concours, c’est super ! Merci de nous donner la possibilité de gagner des ouvrages super intéressants. La question qui m’intéresse le plus est « mes enfants ne vont-ils pas manquer d’iode ? », tout simplement parce que c’est une question que je n’ai jamais lu ni entendu, et que je suis du coup assez curieuse d’en connaitre l’origine et l’explication.
Merci beaucoup, et au plaisir de lire tes prochains articles !
Bonjour et un merci tout particulier pour cet article qui résonne beaucoup pour moi ! Je parlais justement cette semaine à mon ami de ma difficulté à faire face aux questions concernant mon véganisme ! Je me retrouve en effet souvent à cours d’arguments et surtout jugée, malheureusement… ce qui me fait également perdre mes moyens ! Même si les intentions de mes interlocuteurs ne sont pas toujours mauvaises, loin de là, je me sens souvent perdue pour leur répondre clairement. J’ai tendance à m’embrouiller et à ne plus savoir que dire. Je finis bien souvent moi aussi par me taire et cela ne me convient vraiment pas ! J’ai hâte de lire ce livre, merci pour ce conseil et ce concours !
La réponse à la question : “Mais… consommer des produits d’animaux issus d’élevages plus “humains”, n’est-ce pas un bon début ?” m’intéresse tout particulièrement, car je la trouve récurrente parmi mon entourage proche et je souhaiterais vraiment pouvoir leur apporter des éclaircissements plus précis.
Charlotte
Mais….ne faudrait-il pas s’occuper d’abord des humains ? Car c’est une question difficile souvent posée. Et parce que je crois que les humains font partie d’un tout, indissociables des animaux, de la nature, de leur environnement. Comment ne s’occuper que d’une partie et ignorer le reste au risque de créer de graves déséquilibres ?
Merci pour ce bel article et pour ces 30 questions. De quoi se remuer utilement les méninges !!!
Stéphanie
Coucou,
Je ne suis pas Vegan, mais je m’intéresse depuis quelques temps à un mode d’alimentation plus naturel et plus éthique. Je fais de plus en plus de repas végétariens mais il y a encore pas mal de leviers à lever et notamment, comment faire accepter à mon entourage et notamment à mon conjoint qui est un carnivore ++
De fait, la question qui m’intéresse le plus serait « “Mais… mon compagnon (ou ma compagne) n’accepterait pas mon végétalisme.” Mais également l’ensemble de ma famille qui me trouve déjà « extrême » dans ma façon de consommer (alimentation et cosmétiques) depuis mon passage au naturel… compliqué pour moi alors d’avoir l’impression de devoir me justifier sur mes choix sans que les autres en plus pensent que je suis moralisatrice…
De fait, le sujet m’intéresse pas mal et l’ensemble des questions. Je ne sais pas si je deviendrai un jour entièrement Vegan, mais sans doute que j’ai besoin d’ouvrir encore les yeux sur certaines choses
(désolée, mais j’ai du changer l’adresse mail pou mon commentaire car cela imposait avec celle indiquée dans le formulaire que je me connecte à un compte wordpress qui en fait n’existe pas :/, j’espère que cela ne posera pas de problème pour la validation de ma participation)
Hello !
Ce livre est super ! Justement je me demandais souvent (après chaque discussion autour du véganisme avec des omni…) comment mieux répondre, principalement à la question : mais je consomme local…
Bref j’aimerais moi aussi savoir mieux répondre et défendre le véganisme sans paraître butée ou agréssive.
Donc je participe avec plaisir 🙂
Bonne soirée
moi c’est celle-là ;“Mais… que deviendraient tous ces animaux si on ne les mangeait pas ?” qui m’intéresse le plus, parce qu’elle demande quand même un argumentaire assez poussé pour y répondre… je me souviens de Patrick Cohen qui disait à Jeanne Mas qu’elle disait n’importe quoi et que si on ne mangeait plus de poissons et bien ils finiraient par « envahir » les océans oO se pose la question aussi de savoir quoi faire des animaux d’élevage si l’on décidait là maintenant de tout arrêter… (rien que l’exemple de l’élevage de poules du Gaec est significatif, on parle de gazer ces poules… comment gérer ces 200000 poules si on ne les tue pas comme il était prévu…). Toute la question « logistique » ou pragmatique m’intéresse 😉
merci pour ce concours 😉
Bonjour Natascha,
Merci pour la présentation de ce traité. Il est vrai que réussir à structurer ces proposes en s’inspirant est une chouette idée, en tous cas pourrait m’être utile.
Dans mon milieu j’ai du mal à répondre à cette question : “Mais… consommer des produits d’animaux issus d’élevages plus “humains”, n’est-ce pas un bon début ?” et la fameuse et les plates de souffrent pas? Donc hâte de découvrir les réponses des auteurs.
Manon
“Mais… c’est pour les manger que nous avons fait naître les animaux d’élevage ; ils sont fait pour ça.” C’est un des arguments de mon copain que je n’arrive pas à trancher de manière définitive. Et même si les gens autour de moi sont plutôt tolérants, un peu d’argumentaire est toujours bon à prendre 🙂
Merci pour ce concours en tout cas 🙂
Merci pour le concours Natasha ! Je suis très intéressée par les réponses à toutes ces questions et particulièrement celles du style “Mais… que se passerait-il si tout le monde se nourrissait uniquement de végétaux ? Il ne resterait plus assez de terre pour faire pousser les plantes !” ou « que deviendraient tous ces animaux si on ne les mangeait pas ? » parce que je les ai déjà entendues et que je n’ai pas vraiment de réponse idéale.
Bonjour Natasha, j’ai envie de participer au concours mais j’ai encore besoin de réfléchir à l’objection qui me parle le plus. Je ne suis pas vegan ni même végétarienne pour tout un tas de raisons (et la principale est que je n’ai pas encore compris/ pris le temps de comprendre comment éviter les carences, l’erreur que j’ai faite il y a quelques années). En revanche, je trouve la vision globale du véganisme très intéressante, d’après ce que je comprends.
Connais-tu ou utilises-tu la communication non violente/bienveillante ou l’écoute active ? Parce que je trouve que c’est très utile pour avoir des échanges sans tomber dans des postures « raison/tord – je dois convaincre ».
Pour prendre l’exemple du zéro déchet qui est mon dada, je suis très à l’aise dans mes baskets pour refuser les gobelets au café devant tous mes collègues. Cela génère bien sûr des échanges. Je reste en « message-je » (« c’est important pour moi de… »). Et je me rends compte que les personnes expriment par le jugement une crainte, une appréhension, une peur de changer les habitudes (« comment trouves-tu tout le temps pour préparer tes produits ménagers et tes plats maison ? / c’est trop compliqué de faire les courses au marché « ) enfin bref tu imagines les questions et remarques. J’aime chercher l’émotion qui se cache derrière tout cela. Du coup la discussion est plus fluide.
Finalement, ce sont les personnes qui te jugent et qui t’attaquent qui ont un problème avec elles-mêmes. Et non l’inverse 🙂 sauf si bien sûr tu cherches à les convaincre qu’elles doivent devenir vegans, ce dont je doute au vu de la manière dont tu réponds aux commentaires (cf. celui qui t’interpellait sur le plastique dans un article précédent).
Allez, je te soutiens pour que tu développes cette force de caractère 😉 😉
Bonjour Maluch,
J’applique la communication non violente/bienveillante et l’écoute active au quotidien, surtout que cela est essentiel dans mon métier, et j’en fais de même à l’extérieur, surtout lorsqu’on touche à des sujets sensibles tels que celui-ci, et dans la plupart des cas cela est très utile c’est certain… mais cela ne me permets pas de faire face à certaines personnes dont la confiance, l’agressivité et/ou l’arrogance m’intimident trop et finissent par me faire taire. Merci pour ton soutien 🙂
Message tardif certes, mais j’ai repensé à cet article souvent.
J’ai trouvé ma propre objection. J’ai la conviction que la nature fait bien les choses et que je peux lui faire confiance. Du coup, le fait de devoir se supplémenter en vitamine B12 montre que l’alimentation vegan est « anti-naturel ». Ce sera donc le point que je continuerai à creuser pour comprendre.
Et dans ma réflexion, je garderai aussi à l’esprit que ma conviction repose sur ma croyance que la nature fait bien les choses 🙂 , la croyance étant de fait une chose personnelle et pas forcément partagée par tous.
😉
Comme toi, je pars du principe que la nature fait bien les choses. Malheureusement, l’humain l’a tellement abîmée que l’on ne trouve (presque) plus de B12 à l’état naturel. Autrefois, l’humain comme les animaux obtenaient la B12 via les végétaux qu’ils consommaient. Aujourd’hui, les sols sont tellement pollués et appauvris qu’on n’y trouve plus de B12 à l’état naturel. De ce fait, les animaux doivent eux aussi être supplémentés de nos jours. Donc on a deux options : obtenir de la B12 en mangeant des animaux eux-mêmes supplémentés en B12 ou avaler le comprimé directement. Aucune des deux n’est naturelle à mes yeux, mais la seconde reste celle que je considère comme étant plus saine, éthique et écologique… personnellement :-). Ceci dit, comme toi, avant je pensais que le véganisme n’avait rien de naturel à cause de cette fameuse supplémentation en B12… jusqu’à ce que je réalise que tous les animaux non humains d’élevages (industriels ou non) devaient eux aussi être supplémentés.
Merci beaucoup pour l’info.
On pourrait donc imaginer qu’un vegan vivant dans un environnement relativement protégé pourrait se passer de B12.
C’est un peu désespérant ce que tu écris. Ca me motive encore plus pour faire bouger à mon niveau. Je me demande si cet appauvrissement des sols est réversible.
C’est en effet très désespérant et surtout effrayant je trouve… de se dire que l’on a déjà tellement fait souffert notre environnement que nous ne pouvons plus y survivre sans avoir recours à une supplémentation ! Malheureusement, peu de personnes savent cela… J’ose croire qu’il est possible d’améliorer les choses… même si j’ai du mal à croire que l’on pourra un jour rendre au sol toutes ses richesses.
Bonjour, je profite de ce petit concours pour te remercier de tes articles réguliers et riches que je lis depuis plus d’un an maintenant.
Ce livre que tu présentes à l’air particulièrement intéressant ! J’aimerais notamment bien connaître la réponse qui est faite à la question “mais… c’est pour les manger que nous avons fait naître les animaux d’élevage ; ils sont fait pour ça”. Mon entourage, que j’essaie de sensibiliser à la cause animale, me sort souvent cette remarque et j’avoue ne jamais trop savoir comment prendre le contre-pied de cette vision utilitariste de l’animal d’élevage…
Merci encore pour le concours !
“Mais… que deviendraient tous ces animaux si on ne les mangeait pas ?” C’est une question que je me suis moi même posée et j’avoue ne pas avoir de réponse. Les vaches ou les poules survivraient elles en totale liberté sans aucune exploitation humaine ? Je serais curieuse de connaître la réponse apportée dans le livre.
J’avoue que toutes les questions sont intéressantes et certaines m’ont déjà été posées plusieurs fois et je ne suis pas toujours claires dans mes réponses. Ce livre est une aubaine pour les vegan qui (comme moi) se sentent vite déstabilisés par un flot de questions souvent agressives.
Je choisis la question “Mais… ma famille et mes amis seront déçus que je ne consomme plus de nourritures d’origine animale.”
Parce que certains choix donnent l’impression de rentrer dans une secte aux yeux de certains. Et ce que je trouve le plus difficile justement est ce besoin d’avoir à justifier ses choix personnels.
“Mais… les animaux se mangent bien entre eux.”
Elle est dure celle-là…
Je participe car je ne suis végétarienne (pas végane) depuis seulement 1 semaine à 100% et que
la question que je me pose (vraiment) : Que deviendraient les races élevées pour leur consommation (exemple les vaches, qui en élèvera pour le plaisir?)?
Sinon, merci pour le concours et le blog, plein d’infos et d’articles intéressants!
Florence
Je souhaite participer, ce livre ayant l’air vraiment prometteur et étant souvent dans la situation que tu décris en intro.
La problème soulevé qui m’intéresse le plus est celui de la carences en fer (ou en protéines) car lorsque le débat porte sur un point médical, je ne peux rien répondre n’étant pas spécialiste.
Merci pour ce concours 🙂
Ce livre a l’air très intéressant ! La question qui me parle le plus : que faire si je ne suis pas prête à renoncer maintenant aux produits animaux? Quel chemin suivre et qu’en déduire?
Depuis un bon moment je me pose des questions pour devenir végétarienne.
J’ai réduit ma quantité de viande mais je n’arrive pas à passer « le cap » complètement…
Pourtant je pense bien que :
« Mais… devenir végétarien, n’est-ce pas un premier pas dans la bonne direction ? »
Merci pour l’encouragement par ce blog et ces défis 😉
“Mais… devenir végétarien, n’est-ce pas un premier pas dans la bonne direction ?”
Je suis en plein questionnement! Après être passé au bio depuis quelques temps, je me suis mis au repas végétarien tous les soirs puis de plus en plus et suis en pleine recherche de docs, livres, blog sur ces thèmes. J ai plusieurs doutes sur les repas équilibrés gouteux, qui donnent envie…..
Bref je me retrouve sur votre blog a le dévorer
Je continue Mes lectures
Ce livre m’intéresse beaucoup, je participe avec plaisir (surtout que le concours est ouvert à toute l’europe! Youpiiii!). Merci pour ce concours, la découverte de ce livre et ton super blog!
La question qui me touche le plus est “Mais… les plantes ne souffrent-elles pas, elles aussi ?”
C’est toujours un point sur lequel je bloque et qui m’empèche de vraiment me tenir à un régime végane. Je m’en rapproche néanmoins de plus en plus, et un livre comme celui-ci pourrait finir de faire sauter mes blocages.
je suis largement interessee je suis vegan je cherche à le devenir je manque de clés!!
mais une question me touche particulierement une remarque est inquietante marque une totale absence d’ouverture d’esprit
» ce que je mange ne regarde que moi »
merci à vous pour tout vous me stimulez vraiment
Bonsoir !
Je participe avec grand plaisir !
« Mais… ce que je mange ne regarde que moi, non ? »
Je dirai oui et non.
Non, car si on mange végétalien, vegan, on se fait du bien à soi, mais aussi à la santé de notre planète (moins de gaz à effet de serre, plus de respect à la nature, aux animaux).
J’ai tant de choses encore à apprendre ! Et je continuerai jusqu’à ma mort, na !
Merci beaucoup pour votre concours !
Bonne soirée !
Bonsoir Natasha,
Merci pour cet article une nouvelle fois passionnant, il est parfois difficile de se faire entendre face à l’agressivité (ou l’absence d’envie de dialoguer?) de nos interlocuteurs, mais via Échos verts tu t’y prends très bien pour nous inviter à la réflexion en douceur :)…
Je participe avec plaisir (quoi qu’il arrive je pense que ce livre va figurer dans mes prochains achats car il me semble particulièrement adapté d’un point de vue pratique pour moi qui suis « en transition » 😉 ).
Jai hésité entre la question sur que faire…et la question de savoir si devenir végétarien n’est pas un bon début, les deux me brûlent les lèvres…pour en finir je resterai sur cette dernière car j’étais persuadée que cela ne pouvait être qu’un bon début (quoique mon cheminement vis a vis des animaux est plus complexe que la seule alimentation) et je suis très curieuse de découvrir la réponse à cette question, qu’elle aille dans ce sens ou qu’elle m’ouvre l’esprit sur un autre cheminement possible ;)…
Bref, encore une fois merci pour cette belle découverte (je n’ai pas encore lu tes graines vertes j’attends un moment posé pour les savourer 😉 )
“Mais… n’est-il pas “naturel” de manger des produits d’origine animale ?”
C’est celle qui me pose le plus de problèmes… en général, c’est accompagné du débat sur la dentition, comme quoi on a des canines et c’est bien la preuve qu’on DOIT manger de la barbaque! Merciii pour ce concours, et encore merci pour tout ca blog, je le fais découvrir partout autour de moi! J’en parle tout le temps… bonne continuation Natasha!
Bonjour,
La question qui m’intéresse le plus ( mais elles m’intéressent toutes!!!) c’est » mes enfants ne vont-ils pas manquer d’iode?)
Ma naturopathe m’avait dit qu’il était important de consommer des produits de la mer pour le développement du cerveau. Je m’étais dit qu’il faudrait que j’apprenne à cuisiner les algues et ….j’ai oublié!
Je ne sais même pas si c’est la bonne réponse à la question!
Bonsoir Natasha,
Il y a vraiment plusieurs questions dont j’aimerais lire la réponse proposée par les auteurs de ce livre, mais je commencerais par : « Mais… ne faudrait-il pas d’abord s’occuper des êtres humains ? ». J’ai l’impression que c’est l’argument facile pour changer de sujet, comme si c’était incompatible de penser aux hommes et aux animaux à la fois, comme si l’on devait porter toute la misère du monde sur nos épaules avant d’avoir le droit de prendre la défense des animaux…
J’ai l’impression que certains réagissent au végéta*isme en tentant de nous faire « culpabiliser » sur certains points, pour éloigner le sujet d’eux.
J’ai commencé la lecture de Faut-il manger les animaux ?, et je serais bien intéressée par le livre que tu présentes, parce que même si je n’ai jamais eu de réponse agressive à mon végétarisme, j’aimerais avoir des arguments plus solides et construits.
Belle soirée !
Bonjour, et merci pour ce concours! La réponse qui m’intéresse particulièrement serait celle-ci : “Mais… mes enfants ne vont-ils pas manquer d’iode ?”
En effet, ma fille de 8 ans ne souhaite plus consommer de viande (je suis végétarienne, mais en très bonne voie pour le véganisme, reste à supprimer les œufs…) et a considérablement réduit sa consommation de produits laitiers. Nous prenons de la B12, mais c’est vrai que la question de l’iode m’interpelle.
En tout cas, merci pour les articles que vous mettez en ligne, c’est toujours un plaisir de les lire!
Bonne soirée.
« Mais… nous nous trouvons au sommet de la chaîne alimentaire. »
En effet, certains disent que nous devons assumer notre statut de prédateurs. Que répondre à cela ?
Bravo pour la qualité de votre blog !
Coucou,
Je ne suis ni vegan, ni végé mais cette philosophie de vie m’intéresse. J’essaye de faire des journées sans viande, je mange beaucoup de légumes.
Adepte de pâtisseries maison , je m’intéresse également à la question concernant les oeufs et autres produits laitiers qu’il faudrait remplacer.
Blogueuse, certaines de mes copinautes sont veganes et donc je m’intéresse à leur mode de vie.
Je teste même certaines de leurs recettes ( par exemple le « nutella » maison vegan ou pain hamburger (farine d’épeautre …).
J’ai donc investi dans les ingrédients et je trouve que les prix de ces produits sont excessifs. Personnellement, ça me freine un peu, du coup, je préfère faire des gâteaux « classiques ».
Alors la réponse à cette question: « Mais …être végétalien, n’est-ce pas difficile et coûteux ? » m’intéresse vivement.
Pour moi, le plus dur est d’assumer mon choix à l’extérieur. Notamment chez mes beaux-parents qui ne conçoivent pas un repas sans viande et chez lesquels je ne peux pas vraiment cuisiner. Je suis obligée d’être un peu la rabat-joie de service et pendant ces repas je prends beaucoup de jugements et critiques sur mon choix. Du coup, je suis toujours intéressée par tout ce qui peut me permettre de mieux répondre aux arguments que l’on m’avance. Si je dois choisir une question, je choisirai celle là :
“Mais… ma famille et mes amis seront déçus que je ne consomme plus de nourritures d’origine animale.”
Bonjour !
Je suis végétalienne depuis peu (quelques mois) et je me heurte moi aussi régulièrement à des remarques de ce genre, en particulier par rapport à mon petit garçon de 9 mois, pour qui ce régime ne serait pas approprié, selon les omnivores… « Bon ok toi tu fais ce que tu veux, mais tu vas par embarquer ton fils là-dedans, non ? Il a besoin de protéines, de calcium, tu ne peux pas lui imposer ton régime alimentaire » ha parce qu’un régime omnivore ce n’est pas un régime imposé ?
La question qui m’intéresse particulièrement est la suivante : « Mais… j’ai entendu que quelqu’un était tombé malade après avoir abandonné les nourritures d’origine animale.” On me la ressort à toutes les sauces, et que les végétaliens sont maigres et rachitiques et qu’ils sont carencés et on leur retire leurs enfants parce qu’il sont irresponsables… J’en passe et des meilleures.
Bref, je serais bien contente d’avoir une lecture de ce genre pour faire mieux comprendre mon point de vue ! 🙂
J’avoue que j’hésite entre pas mal de phrases mais vu que jai dans l’optique de devenir végétarien puis végétalien de façon celle que j’aurais tendance à « préférer » cest celle ci “Mais… que faire si je ne suis pas capable de renoncer immédiatement aux nourritures d’origine animale ?”
Dans mon cas j’ai saisi le fait que je sois en rééqulibrage alimentaire pour cesser tout apport en viande mais je m’étais dit que pour éviter tout « craquage » (les habitudes sont mauvaises et dures à perdre…) je mangerais encore un peut de poulet quelques temps… et du coup j’aimerais bien savoir ce quils en disent dans le bouquin!!!
Bonjour,
J’adorerais lire ce livre pour avoir assez d’arguments pour contrer tous ces septiques qui pensent qu’être vegetarien vegetarien ou vegan n’est qu’une mode au mieux, une hérésie au pire.
La question à laquelle j’aimerais avoir plus d’arguments est la suivante: “Mais… Dieu ne veut-il pas que nous mangions les animaux ?” En tant que croyante pratiquante mon entourage ne comprend pas mon choix vis à vis de la religion pensant que Dieu à créer les animaux pour que les hommes les utilisent les exploitent et les mangent ce qui est à mon sens est faux ou du moins pas tout à fait vrai. Selon ma religion (l’Islam) Dieu à crée les espèces d’égale à egale, les humains ne sont pas supérieurs aux autres espèces et il nous ait interdit de faire souffrir une espèce (telle quel soit) sans raison. Il n’empêche qu’on me dit qu’il faut bien se nourrir et qu’on peut manger les animaux sans les faire souffrir. A cet argument je peine à expliquer que tuer est une souffrance même si au cours de leur vie ils n’ont pas été maltraités.
Bonjour Natasha et merci une fois encore pour cet article très intéressant, et qui plus est pour ce concours.
La question que je choisis est : « Mais…n’est-il pas naturel de manger des produits d’origine animale? »
Je ne suis pas végane, mais je suis sur internet beaucoup de blogs de filles ( et un seul garçon) véganes. J’en ai laissé quelqu’un de côté de part leur côté « intégriste », intolérant et accusateur pour les non-adeptes. En revanche chez beaucoup j’y ai trouvé tolérance et finesse, et beaucoup de préoccupation pour l’Autre, quel qu’il soit, et de la gaité , ce qui est important dans nos démarches vers un monde plus ouvert.
De toute façon , je tâcherai de me procurer ce livre .
Merci pour tes conseils éclairés de lectures et bonne semaine!
Bonjour Natasha 🙂
encore une fois un bel article, qui fait écho à certaines situations que je vis régulièrement.
En Effet, je rencontre beaucoup de gens qui sont plus ou moins curieux par rapport à mes choix, que ce soit au niveau de l’environnement ou de l’alimentation, mais souvent vient le sceptiscime ou, dans de plus rare cas, la profonde mauvaise volonté de ne pas vouloir comprendre et surtout de contrecarrer avec des arguments qui n’en sont pas.
Et si ce n’est pas de la mauvaise volonté, c’est parfois la toute bonne fois de croire que les Petits élevages, ou bien la fameuse « qualité suisse » (j’habite en suisse) nous préserve de la culpabilité (oui oui le fameux Mythe de la viande heureuse qui ne se rend même pas compte qu’elle va à l’abattoir, paf un choc sur la tête et hop au paradis en croyant encore brouter l’herbe de son champ).
Alors je me rends compte que je perd trop d’énergie à vouloir développer, expliquer, et je me tais (parfois je m’énerve :-S )
J’aimerais lire une autre approche à ce sujet, et la question de ta liste dont j’aimerais le plus connaître la réponse est :
“Mais… consommer des produits d’animaux issus d’élevages plus “humains”, n’est-ce pas un bon début ?”
Car à mon sens, il n’y a pas de bon élevage, mais comment exprimer tout ça sans se laisser déborder par ses propres convictions…?
Bonjour Natasha et merci pour ce concours!
« Mais… Hitler n’était-il pas végétarien? »
Si, au premier abord, j’ai souvent répondu: « Albert Schweitzer était aussi végétarien » ou bien « Staline mageait de la viande », j’ai compris bien plus tard que ce n’est pas d’Hitler en personne qu’il s’agit dans cette question, mais plutôt des misanthropes/rascistes en général ainsi que de leur stratégie.
Le végétarisme n’était pour Hitler qu’un moyen de propagande et servait (entre autres) à abaisser des êtres humains en conférant à des animaux des droits comparables à ceux des personnes.
Pour moi, refuser de manger de la viande et de porter du cuir (je suis encore un peu en stagnation sur les produits laitiers et les oeufs…) m’a aussi rendue plus sensible à la souffrance humaine, mais, malheureusement, la misanthropie n’est pas étrangère au mouvement végan et j’aimerais bien savoir répondre à cet argument caché sous cette question.
Un grand Merci pour tes idées perspicaces tout au long de l’année!
“Mais… que deviendraient tous ces animaux si on ne les mangeait pas ?”
C’est une question que je me pose depuis longtemps, et qui m’inquiète beaucoup, notamment pour les races anciennes menacées…
Merci pour tous ces partages !
Hello Natasha !
Deux des arguments me tiennent à coeur et bien sur il m’est impossible de choisir entre les deux…
Premièrement : “Mais… que se passerait-il si tout le monde se nourrissait uniquement de végétaux ? Il ne resterait plus assez de terre pour faire pousser les plantes !”
Je suis devenue végétarienne à tendance végétalienne principalement par éthique mais également pour des principes d’écologie. Cependant, je trouve qu’il est assez dur d’expliquer ce mode de régime choisi pour des raisons éthiques. J’ai eu très souvent droit à des moqueries, d’être qualifiée de « l’amie des animaux », « BB » etc. Alors maintenant, j’évoque en premier l’intérêt écologique de ce mode de vie. Et on me rétorque souvent « oui mais si tout le monde faisait comme toi, ca serait pire ! » Que leur répondre ? Je n’ai pas eu de réponse dans les nombreux ouvrages que j’ai déjà lu…
L’autre citation serait “Mais… ne faudrait-il pas d’abord s’occuper des êtres humains ?”
Je suis Kurde d’origine et, si tu suis un peu l’actualité, c’est un peu le chaos là-bas en ce moment… Mes parents comprennent mon choix mais me disent souvent de penser à mon peuple, aux difficultés rencontrés là-bas et comment je pourrais (devrais?) les aider plutôt que de porter autant d’intérêt aux animaux… C’est un argument très délicat pour moi et je ne sais jamais vraiment comment leur répondre à ce sujet…
Merci pour tes (nombreux) conseils, j’ai découvert ton blog assez tardivement mais je m’étais lancée dans la lecture de tous tes articles depuis le début et suis enfin à jour (haha !)
Bonne journée 🙂
Bonjour Natasha,
Je ne laisse pas souvent de commentaires mais je tenais une te dire un très profond et sincère « merci », de tout mon coeur, pour ton blog, tes articles et tes éco-défis que je ne manque jamais. Tu es une lumière, un bel exemple de chemin. Tu m’as énormément apporté depuis que j’ai découvert ton blog. Je me retrouve énormément dans tes trais de caractères que tu dévoiles sur ton blog et à 100% dans cet article.
Personnellement, je suis végétarienne à 90% car des soucis de santé m’obligent à garder une petite part de produits animaux en raison de nutriments que je ne peux assimiler à partir des végétaux. Bon en même temps, cela se résume à des œufs venant de poules très heureuses et parfois un peu de poisson gras. Mais j’espère un jour pouvoir être 100% vegan.
Lorsque je parle de végéta*isme autour de moi (généralement quand on me pose des questions), la question qui revient le plus souvent est “Mais… les animaux se mangent bien entre eux.” ! Que nous sommes des mammifères comme les autres, que même les grands singes mangent parfois des produits animaux (insectes,…).
Je réponds souvent pas « l’absurde » en disant que les lions tuent les jeunes lionceaux pour s’accoupler avec les lionnes mais que ce n’est pas pour autant que nous faisons la même chose, que nous n’avons pas à suivre toutes les pratiques des autres animaux car nous ne sommes pas ces animaux, qu’ils existent aussi des animaux herbivores (aux dernières nouvelles, les vaches dans le pré à côté de chez moi ne dévorent pas les ragondins qui y vivent ni ne me regardent en pensant à moi comme à leur prochain repas et en se léchant les babines (en fait, ça elle le font 🙂 )). J’aimerai toutefois avec un véritable argumentaire.
Très bonne et heureuse semaine à toi.
La voici, la question dont j’aimerais enfin connaitre la réponse :
« Mais… les plantes ne souffrent-elles pas, elles aussi ?”
Parce qu’apparemment tout le monde a vu ou lu l’étude qui prouverait que les plantes souffrent, sauf moi !
Le plus compliqué? Gérer cela avec les personnes agées, qui elles ont vécu dans la ferme, ont couru avec les poules – qui à ce moment là ne pondaient pas tous les jours -, caressé les vaches, pris soin des cochons. Loin des élevages intensifs… Le concept d’anti-spécisme leur semble très difficile à imaginer.
Car pour eux un animal doit être utile, sinon cela ne sert à rien.
Bonjour, la question qui m’occupe est le regard de ma famille et de mes amis .Depuis longtemps je suis végétarienne la semaine mais le we j’ai du mal à dire que je ne mange pas de viande ni poisson quand je suis à l’extérieur de chez moi .Pour des raisons de santé je ne mange plus de fromage depuis 2 ans .J’aimerai passer au végétalisme mais ne sait pas comment aborder les questions en société.Je n’ai pas envie de rentrer dans des discussions stériles . Tout n’est pas encore clair en moi , je chemine doucement vers le végétalisme .Je suis devenue végétarienne pour des raisons écologiques .La prise de conscience de la souffrance animale est assez récente pour moi et se fait en parallèle avec un cheminement bouddhiste .Passe une belle journée
La question qui revient le plus souvent : mais …..ou trouvez vous les protéines ? Apparement ceux là meme ne connaissent pas ce qu’ils mangent car les protéines sont présentés ailleurs que dans la viande !!!! Vient à lors la question sur les végétaux : les plantes souffrent elles , elles aussi ? Et là je dois bien dire que je suis à cours d’arguments !!! Belle journée à tous
coucou,
Merci pour le concours, je tente ma Chance…
alors plein de questions/réponses m’intéressent, mais celle qui l’est encore plus est Mais… j’ai entendu que quelqu’un était tombé malade après avoir abandonné les nourritures d’origine animale.” On m’a déjà souvent demandé. Je réponds que ça dépend des personnes, de leur vécus, que ça ne vient pas du végéta*isme… qu’il ou elle avait ça avant… mais bon pas si facile à expliquer et à faire comprendre… Je n’ai pas forcément les Bons mots…
Super article, ça m’a donné très envie de prendre connaissance du livre, je ne suis pas vegan mais plutôt quelque chose d’un peu flou qu’on appelle « flexitarien » (j’évite viande, produits riches en gluten et produits laitiers à la maison) et je rencontre déjà des difficultés de compréhension des autres vis à vis de mon alimentation, c’est pourquoi l’ensemble des questions de la liste m’intéressent.
Cependant, “Mais… n’est-il pas “naturel” de manger des produits d’origine animale ?” attise ma curiosité car j’ai appris récemment qu’au delà de la cause purement environnementale, manger de la viande n’est pas forcément adapté à notre système digestif et donc potentiellement désavantageux, j’ai envie de me renseigner plus à se sujet et de savoir à mon tour l’expliquer aux personnes qui s’interrogeront.
Bonjour,
la phrase qui m’intéresse le plus est “Mais… mon compagnon (ou ma compagne) n’accepterait pas mon végétalisme.”, parce que l’entourage n’est pas toujours un soutien dans cette voie qui va vers la pleine santé, et le bonheur de ne faire aucun « sacrifice animal » par son alimentation, ou son mode de vie.
Merci pour ce concours !
Bonjour,
Depuis un certain temps, j’ai fortement réduit ma consommation de viande mais je n’ai pas encore passer le cap de l’exclure définitivement. Mais la question qui m’intéresse car je n’ai jamais entendu de réponse à se sujet est:
« “Mais… que deviendraient tous ces animaux si on ne les mangeait pas ?” »
J’aime voir les moutons et les vaches dans nos campagnes. Y en aurait-il encore si tout le monde de passais de sous produit animal?
Merci beaucoup pour ce blog que je suis avec attention.
Je suis curieuse de la question « Mais que deviennent les animaux si on ne les mange pas ? ».
Je commence mon voyage, je suis végétarienne débutante en formation. 😉 Et je commence le livre « Voir son steak comme un animal mort » et le veganisme devient une possibilité que je n’envisageais pas avant (trop dur de se passer d’oeufs, beurre, fromage).
Mais j’avoue être curieuse sur un avenir où l’humain serait vegan.
Merci !
“Mais… en acceptant de ne plus manger de viande ni d’autres produits d’origine animale, est-ce que je m’engage également à renoncer à toute autre forme d’exploitation animale ?”
J’essaie d’aller vers ce mode de vie même si il n’est que très peu compris étant végétarienne c’est pour mon entourage être extrême que de pousser cette envie jusqu’au veganisme. Pour moi c’est quelque chose qui est coule de source et qui est cohérent avec ce que j’ai commencé à faire.
Bonjour, je participe avec plaisir et la citation dont je suis curieuse est celle ci : “Mais… ma famille et mes amis seront déçus que je ne consomme plus de nourritures d’origine animale.” car je m’aperçois qu’il est difficile de passer le cap du végétalisme sans être jugé ou compris des autres, ce qui amène à craquer pour d’autres aliments qui n’entre pas dans cette pratique alimentaire ! Ce livre doit être très instructif et rempli de bons arguments 😀 Merci de nous donner l’occasion de le découvrir.
Hello,
Je tente ma chance avec plaisir 🙂
“Mais… je n’arriverai jamais à me passer de mon plat préféré.”
“Mais… ma famille et mes amis seront déçus que je ne consomme plus de nourritures d’origine animale.”
“Mais… mon compagnon (ou ma compagne) n’accepterait pas mon végétalisme.”
Merci !
Bonjour Natacha !
Ne connaissant pas ces auteurs, j’ai été très intéressée par toutes les questions énumérées, certaines retentissant plus que d’autres. Une a attiré mon attention( « ah mais c’est vrai ça… ») : “Mais… que se passerait-il si tout le monde se nourrissait uniquement de végétaux ? (etc.)”
Bonjour Natacha !
Encore merci pour cette nouvelle découverte de lecture et en plus pour nous permettre de peut-être la gagner.
Personnellement la phrase qui me gêne le plus souvent quand j’aborder la question du végétalisme avec mon entourage c’est “Mais… je n’arriverai jamais à me passer de mon plat préféré.”
Cette question arrive souvent en clôture de discussion quand j’ai déjà parlé d’écologie, de souffrance, d’impact social etc. Tous les arguments qui m’ont convaincus ne parviennent pas à toucher mon interlocuteur et là, bim il/elle me livre son atout imparable: « Je ne serais pas capable! » en parlant de goût voire de sacrifice personnel. Je crois que juste pour trouver une réplique simple à cela tout en étant positive et encourageante et non résignée ou désarçonnée, ce livre vaut le coup pour moi!
@ bientôt
Julie
« Mais… la consommation de produits d’origine animale est dans nos traditions. »
Il est vrai que les habitudes, celles qu’on a depuis qu’on est tout petit sont très difficiles à changer… En ce qui concerne mon compagnon, il ne comprend pas mon changement d’alimentation. En effet, « flexitarienne » (je ne mangeais plus que 2 sortes de viandes, je n’ai jamais vraiment manger d’oeuf et je ne bois pas forcément de lait une goutte dans le café le matin ceci n’est pas très difficile à changer) depuis quelques années je suis devenue végétarienne il y a 2 mois. J’ai ressenti en fait naturellement le besoin de pousser plus loin mes pensées… devenir végétalienne autrement dit « Végane » car j’estime que c’est en rapport avec mes convictions personnelles.
Étant donné que depuis que j’ai pris cette décision je me suis pas mal documenté, regardé quelques vidéos et conférences on dira que j’en sais un peu plus sur la question … la viande, à long terme et en excès c’est vraiment mauvais pour la santé.
J’avais l’impression que cet argument pouvait faire mouche mais, il me répond que manger de la viande c’est ce qu’il connaît depuis toujours, il est carnivore et le restera toujours. Qu’il adore la viande…
Ma foi là je sais pas vraiment quoi lui répondre…
J’aimerais vraiment remporté ce concours et gagné ce livre !!!
Comme beaucoup je te fais dis merci pour toutes ces informations qu’on peut trouver ici.
Hello…
La question pour laquelle j’aimerai le plus connaitre la réponse est la suivante : “Mais… consommer des produits d’animaux issus d’élevages plus “humains”, n’est-ce pas un bon début ?”
Je ne suis pas végélienne, ni même végétarienne à temps plein, cependant, je m’interresse énormément à toutes ces questions et je pense que ce n’est plus qu’une question de temps avant que je ne change complètement mon alimentation.
Mais pour cela, j’ai besoin de me convaincre de ne plus consommer les oeufs pondus par les poules de ma tante, qui vivent en liberté sur son terrain à la montagnes. Pourquoi ne le devrais-je pas ?
Bonjour,
La question pour laquelle j’aimerais avoir une réponse est : “Mais… que faire si je me retrouve sur une île déserte et que je meurs de faim ?”
Question assez marrante mais j’ai toujours rêver de m’inscrire à Koh Lanta et j’aimerais savoir si la bas mon végétarisme pourrait tenir bon, je crois n’avoir jamais vu de végétarien dans l’émission.
En tout cas merci pour ce concours c’est une très bonne idée.
Merci à toi pour tes articles tellement inspirants <3
Je tente ma chance (on a -malheureusement- toujours besoin d’arguments pour se « justifier » et débattre quand on est vegan) !
La question qu’on me pose le plus souvent est aussi celle-ci : “Mais… que deviendraient tous ces animaux si on ne les mangeait pas ?”. J’aimerais lire la réflexion des auteurs à ce sujet, car les gens sont toujours surpris quand je leur dit que même si les espèces d’élevages (donc sélectionnées par l’homme depuis des millénaires) s’éteignaient ça ne me ferait ni chaud ni froid… (Mais je suis pour la sauvegarde de ces espèces dans des réserves).
C’est une belle idée de lecture. Je ne suis pas végane, mais je m’y intéresse beaucoup (dernier test en date : mousse au chocolat avec du jus de pois chiches, un régal). La question qui m’interpelle : “Mais… si l’on traitait aussi bien le bétail que nous traitons nos animaux de compagnie ?”. J’ai encore besoin d’être convaincue pour passer la pas, mais petit à petit …
Bon alors moi je fais mes premiers pas vers le vegetarisme, enfin j’essaye et je me pose beaucoup de questions. Depuis quelques temps, je lis pas mal sur le veganisme, cela m’intéresse vraiment. “Mais… que faire si je ne suis pas capable de renoncer immédiatement aux nourritures d’origine animale ?” est une des questions à laquelle j’aimerai une réponse! Belle soirée à tous!
Bonjour,
Merci pour ton blog que je suis suite à un article sur le no poo.
J’essaie depuis 1 an de manger de plus en plus végétal. Mais le message est parfois difficile à transmettre.
La question dont la réponse m’intéresse particulièrement est la suivante :
“Mais… ne vais-je pas manquer de calcium si je ne consomme ni lait ni produits laitiers ?” car c’est la remarque de mon mari pour continuer de faire manger de la viande et des produits laitiers aux enfants. (j’hésitais donc avec celle sur le fer et les protéines !!! ).
Et forcément, toutes les autres aussi pour pouvoir plus facilement échanger avec mon entourage.
Les réponses aux 3 premières questions m’intéressent tout particulièrement au sujet des carences. Même si je suis déjà moi-même convaincu par cela, je manque souvent d’exemples pour convaincre mon entourage, et j’ai déjà eu le cas de quelqu’un me donnant en exemple une personne de son entourage qui n’avait pas l’air bien et carencée depuis son végétalisme.
En tout cas, merci de nous faire gagner ce bel ouvrage
Bonjour Natasha,
Merci pour ce bel article ! Je n’ai qu’une envie, LIRE CE PETIT TRAITE!
En effet, difficile quand on a des convictions de devoir, non seulement toujours se justifier, et aussi de trouver des arguments qui puissent trouver écho chez nos interlocuteurs.
Toutes les questions « porte-d’entrée » me semblent vraiment intéressantes mais il y en a une qui me percute davantage que les autres car je n’ai jamais rien lu à ce sujet :
“Mais… mes enfants ne vont-ils pas manquer d’iode ? »
Bien curieuse d’en savoir un peu plus… d’autant que j’ai 2 enfants à la maison (végétariens à la maison mais omnivores à l’école)…
Encore merci pour ce chouette concours!
Caroline.
La question dont la réponse m’intéresse plus est: ‘Mais… je connais des végétaliens et ils sont moralisateurs (ou hypocrites).”
Ce livre doît être super! J’aimerais bien le lire un jour pour moins cacher le fait que je suis végétalienne (je préfère parfois mentir que entendre des questions moins intelligentes 😉
C’est la première fois que j’écris un commentaire sur ton site que j’ai découvert il y a peu de temps et que j’adore !
“Mais… si l’on améliorait les conditions de vie des animaux d’élevage ?”
Voilà la question à laquelle je ne sais pas répondre. J’aime l’objet de ce livre c’est-à-dire pouvoir répondre aux questions fréquentes que l’on nous pose.
Je suis végétarienne depuis 2 mois. Je suis très fière de cette décision prise après 3 mois de réflexions et 3 livres lus sur le sujet. Je pense que j’ai toujours aspiré à l’être mais je n’en n’ai pris conscience que récemment.
J’aimerais beaucoup savoir ce qui est répondu à la question : “Mais… que deviendraient tous ces animaux si on ne les mangeait pas ?”. Car, c’est effectivement une question que je me pose. Que deviendraient tous les animaux qui sont aujourd’hui seulement élevés pour être mangés, si tout le monde devenait végétarien?
Et beaucoup d’autres interrogations me trottent encore en tête, pour que j’arrive tout à fait à supprimer le poisson de mon alimentation (la viande c’est déjà fait :)).
Bonjour, merci pour le concours! Ah, il y a tant de ces questions posées dont les réponses apportées par « Petit Traité de Véganisme » seraient intéressantes à comparer à celles que j’apporte. Bon, je vais choisir: “Mais… ne vais-je pas manquer de calcium si je ne consomme ni lait ni produits laitiers ?” Ce choix vient notamment de mon nouveau médecin qui m’a directement dit que j’avais une alimentation carencée et elle m’a notamment demandé oû je trouvais mon calcium: abricots secs, brocoli, amandes, tofu, graines de chia et de sésame, parfois laits végétaux enrichis, etc. Mais après faut-il encore convaincre que l’apport est suffisant… Voilà… et au fait, pratiques les astuces de la section « garde robe notamment », merci!
A vrai dire j’aimerai savoir répondre correctement a toutes ces réponses. Mais je m emmêle souvent les pinceaux a répondre a des questions sur un sujet qui me tient a Coeur et qui provoque tant d’incompréhensions dans mon entourage.
Mais je dois dire autant pour moi que pour les autres j’aimerai savoir Répondre a cette fameuse question sur la souffrance des plantes. Car Oui on me rétorque « et les plantes alors » mais je sais que j’ai aussi parfois mal au Coeur en en arrachant une.
Je suis devenue végétarienne depuis 3mois maintenant et malgré les diverses informations que j’ai pu trouver sur le net certaines de mes questions restes encore sans reponse.
La reponse a la question : “Mais… que deviendraient tous ces animaux si on ne les mangeait pas ?” m’interesse beaucoup car c’est l’un des sujets qui m’est encore assez flou
J’ai choisi « Mais… que faire si je ne suis pas capable de renoncer immédiatement aux nourritures d’origine animale ?” car j’aimerais connaître la réponse de l’auteur sur la question.
bonjour,
ce livre a l’air super intéressant. merci pour ce concours. la réflexion qui m’intéresse le plus est celle sur les animaux d’élevages plus « humains » car certain pense que consommer de la viande bio reviens à ne pas faire souffrir les animaux 🙁
Bonjour!
merci pour ce concours, j’y participe avec plaisir.
la question qui me préoccupe en ce moment est celle des carences. Je suis végétarienne depuis plus de deux ans, je ne me souviens pas exactement, et depuis, quand je tombe malade, on me sert le même argument: celui des carences dues à mon alimentation. Bref, je suis curieuse de savoir ce que l’auteur en dit.
Ceci dit, je tends doucement vers le véganisme et j’en suis fière. Je n’en discute plus avec mon entourage ou alors seulement si on me pose des questions et je m’en porte bien mieux! à chacun son chemin 🙂
Je suis végétarienne depuis plus de trois ans. Avant j’étais flexitarienne depuis 30 ans.
J’ai récemment écrit un billet sur mon blog intitulé le top 50 des questions le plus WTF qu’on entend quand on est végé, sur un ton humoristique. J’avoue que je commence à avoir du mal à trouver des réponses à tout.
Je participe à ce concours car ça m’intéresse vraiment, de trouver des réponses aux questions qu’on me pose. Et j’ai besoin d’être confortée dans mes choix.
La question à laquelle je ne trouve pas encore de réponse est : « Mais que vont devenir les animaux si on ne les mange plus? Certaines espèces vont disparaître! » H4avoue que là, je nage un peu pour trouver quoi répondre…
Je participe volontiers au concours car ce livre me parait vraiment intéressant et une vraie bible pour savoir argumenter lorsqu’on est un peu « agressé » car l’entourage ne comprend pas notre démarche. Le « mais, tu vas avoir des carences et va tomber malade » « rien ne remplace les protéines animales » sont le plus souvent les arguments annoncés. On est désarmés car nos réponses ne sont jamais bien accueillies et comme toi, je finis par me taire …
Je ne suis que végétarienne, mais très respectueuse de la condition animale et je lis toujours avec beaucoup d’interet tous tes articles. Merci pour ton partage.
Tout d’abord, bonjour et merci pour ce petit concours 🙂
J’espère qu’il n’y aura pas de doublon, car j’avais posté un commentaire, mais ayant quitté le site plus rapidement que prévu (accès depuis un cellulaire, erf…), je ne vois trace de mon précédent message. Voilà 🙂
Donc, le point qui m’interpelle particulièrement est le suivant : “Mais… c’est pour les manger que nous avons fait naître les animaux d’élevage ; ils sont fait pour ça.” Combien de fois ai-je pu entendre cette interrogation… et vainement tenté de faire entrevoir ne serait-ce qu’une lueur de prise de conscience à mon inquisiteur… mais non, toujours le même refus de voir la vérité en face, l’abomination d’une telle conception des choses, de cette industrie de mort… Un éternel Treblinka, dirait un autre.
Merci pour ce que vous faîtes, merci à tou-te-s qui avez compris ceci !
Bonjour,etant dans une démarche de réduction de produits carnés mais je ne pense pas devenir Vegans complètement ,la question que je me pose et sur laquelle d’ailleurs j’ai pu échanger avec mon cousin Vegan est: mais…que deviendraient tous ces animaux si on les mangeait pas. Effectivement les éleveurs utiliseraient alors leurs terres pour produire céréales ou legumes ,qui aurait une vache dans son jardin,ceux qui ont des poules ,les assument financièrement pour consommer leurs œufs ,devraient ils laisser perdre les œufs pondus (qui ne deviendraient pas des poussins)? Assisterions nous a des zoos sur le thème de la ferme?bref vous voyez ce sujet me questionne pas mal!
végan,depuis 2012,par idéologie pour le respect des animaux et de la vie,en bénéfice secondaire,j’ai vu ma santé s’améliorer.ce livre semble donner des arguments pour répondre aux fãcheux qui ont encore peur de reprendre leur mode de vie en main.
Bonjour, la question avec laquelle j’ai le plus de mal est « Mais… je connais des végétaliens et ils sont moralisateurs (ou hypocrites) » car j’ai tendance à être moi-même plutôt moralisateur. Je vois bien que mes propos sont parfois contre-productifs, mais je ne sais pas comment aborder le sujet autrement.
Tipiti,
Je pense qu’il est particulièrement impossible ou relève de la Sagesse que d’être vegéta*ien tout en abordant la question de l’éthique sans moraliser ou encore juger.
Pour ce faire, il faudrait argumenter de manière totalement objective voire philosophique. Or, lorsque l’on applique nous-même ces valeurs morales dans notre vie et notre assiette, l’implication morale ainsi que sa moralisation est inévitable. Et elle me semble justifiée : pourquoi, alors que j’arrive très bien, moi, à suivre ces préceptes, l’autre ne pourrait-il pas les appliquer à sa vie ? Est-ce de la mauvaise foi de sa part, de la paresse ou attache au regard d’autrui ? Juger et moraliser autrui est la manière la plus naturelle – et j’irai même jusqu’à dire saine – que les végé ont trouvé pour répondre aux contradictions des autres (« oui je suis contre la domination absolu du règne animal mais je les exploite tout de même »).
Après, que tes propos soient contre-productifs, je n’en suis pas sûre. Peu importe comment on aborde le sujet, l’important est d’en parler car cela sème des graines dans la tête des gens, qu’ils semblent réceptifs ou non.
Bon courage,
Pauline
Bonjour !
Je participe pour répondre à la question “Mais… les animaux se mangent bien entre eux.” et un tas d’autres. Je suis à l’étape « presque végétarienne » et j’avance doucement, ce livre m’intéresse beaucoup !
Bonne journée,
Constance
Bonjour!
Je n’ai jamais vraiment aimé la viande; je ne mangeais depuis petite « que » la viande hachée et les blanc de poulet. Comme quoi il ne fallait pas que cela me rappelle l’animal. Je suis végétarienne totalement depuis 6 mois, je suis sur une routine de vie plus slow.
La réponse à la question « “Mais… Dieu ne veut-il pas que nous mangions les animaux ? » m’intéresse particulièrement. Je serai curieuse de connaître une réponse qui ne froisserait pas un croyant, qui ne remettrait pas en cause sa croyance, en somme qui le respecterait autant que nous demandons du respect pour les animaux.
Bonjour, je participe au concours car j’aimerais connaître la réponse à la question : »“Mais… n’est-il pas “naturel” de manger des produits d’origine animale ?”
Souvent lorsque je parle de veganisme c’est celle que l’on me pose et je ne sais pas quoi répondre.
Merci pour les différents défis et articles que vous faites. Ils me permettent d’avancer dans diverses réflexions.
Bonne continuation
Emmanuelle
Bonjour,
Bon je me décide à participer car je dois avouer que je suis en mode attirance/répulsion enfin répulsion c’est quand même un bien grand mot ^^
La phrase que j’ai choisie c’est : Mais… que faire si je ne suis pas capable de renoncer immédiatement aux nourritures d’origine animale ?”
Et oui voilà tout le dilemme pour moi. Je pense qu’il ne faudrait pas grand chose pour me faire prendre cette décision et d’ailleurs se livre m’y aiderait sûrement c’est pourquoi je participe 🙂
Mais c’est vrai que pour l’instant même si je mange très peu de viande (1 fois par semaine et encore) j’ai du mal à m’en priver et pourtant j’adore les animaux et mon cœur se révulse devant les conditions d’élevage. Je me pose tellement de questions sur la laine, le cuir que j’ai porte, et même quand j’achète mon petit fromage de chèvre j’ai une petite voix dans ma tête qui me tiraille …
C’est dur et j’aimerai pouvoir me sentir libre face à ça.
Je te remercie car ici on peut parler de tout ça en liberté 🙂
Pleins de bisous !
“Mais… que deviendraient tous ces animaux si on ne les mangeait pas ?”, les milliards d’animaux d’élevage bien entendus. Et si on ne réduisait pas le nombre d’animaux sauvages par la chasse lorsque ceux-ci deviennent trop nombreux, comment allons-nous faire pour contrôler leur nombre croissant?
Oh mince j’arrive trop tard pour participer à ce beau concours mais le livre a l’air passionnant je l’ajoute à ma petite liste de livre à dévorer de retour en France!