C’est le premier été, depuis la naissance de notre enfant, où je me suis sentie suffisamment bien globalement pour en profiter pleinement ! Malgré Coco qui m’a énormément fatiguée pendant plusieurs semaines et empêché de faire tout ce que j’avais prévu à mon retour de vacances, cet été fut ponctué d’instants de calme, de temps propices à la réflexion et à l’introspection, de jolis moments de partage en famille et entre ami·es et de nombreuses heures de travail fructueuses qui m’ont donné un agréable sentiment d’accomplissement. Ainsi, malgré la fatigue et l’anxiété face aux quelques gros changements de ce début d’année scolaire, j’ai pu attaquer la rentrée avec confiance et sérénité.
Comme à chaque fin de saison, je prends beaucoup de plaisir à me poser pour partager avec vous mes petits pas et bonheurs verts des derniers mois – comme d’habitude, ils ne sont pas tous là car j’en garde certains pour moi et d’autres, que je n’ai pas pris le temps de noter, ont disparu dans les interstices de ma mémoire – et je me réjouis d’avance de lire les vôtres en commentaires.
En collaboration avec Everdrop
Jusqu’à présent, j’avais toujours refusé les partenariats avec des marques de produits ménagers, non seulement parce que parler de liquide vaisselle ou de pastilles WC m’inspire peu mais aussi parce que je n’avais pas l’utilité de la plupart des produits proposés. Mais lorsqu’Everdrop m’a contactée, j’ai immédiatement été séduite pas leur concept. En plus de proposer des produits d’entretien aux compositions et emballages aussi écologiques que possible, la marque Everdrop se démarque à différents niveaux :
- Transparence : la composition de chaque produit est soigneusement détaillée sur leur site, permettant ainsi de comprendre l’intérêt de chaque ingrédient, ses avantages et inconvénients et son impact sur l’environnement.
- Production locale/en circuit-court : le centre logistique se situe à Heilbronn, en Allemagne, 80 % de leurs fournisseur·ses se trouvent dans un rayon de 350 km autour du site et 95 % en Europe.
- Protection de l’environnement et des travailleur·ses : Everdrop travaille avec des fournisseur·ses adhérant à leur Code de Conduite et offrant un environnement de travail sécuritaire et respectueux des droits des travailleur·ses.
- Éco-recharges innovantes : plusieurs de leurs produits se présentent sous forme d’éco-recharges solubles (pastilles ou poudre) permettant ainsi des économies d’emballage en amont et un gain de place chez soi. Il suffit de les mélanger à de l’eau, directement dans un pousse-mousse ou un vaporisateur, pour obtenir du liquide vaisselle, du savon liquide ou encore du nettoyant à vitres.
Je trouve leurs produits très efficaces et je me tourne désormais vers Everdrop pour les tablettes de lave-vaisselle (sans film plastique) ainsi que pour les produits nettoyants. Auparavant, je fabriquais ces derniers avec du vinaigre ménager mais c’est un produit que l’on trouve conditionné dans des petites bouteilles (250 ml) par ici, que l’on doit racheter fréquemment et qui prend trop de place dans sur nos petites étagères. Je préfère donc stocker quelques sachets de pastilles nettoyantes, beaucoup moins encombrantes. Quant aux tablettes pour le lave-vaisselle, nous avons pris un abonnement afin d’être livré·es au fil de nos besoins, à moindre coût. Cela allège pas mal ma charge mentale et domestique puisque j’ai suffisamment de stock de pastilles nettoyantes pour l’année et les tablettes pour lave-vaisselle nous sont livrées automatiquement toutes les 16 semaines (fréquence calculée suivant notre consommation). Pour ne rien gâcher, je trouve leurs vaporisateurs et boîtes de rangement très pratiques et esthétiques !
Enfin, sachez qu’Everdrop propose différents kits et formules d’abonnements économiques et, outre sa large gamme de produits ménagers, la marque vend également des cosmétiques solides ou liquides avec éco-recharges.
Si ça vous intéresse, le code VERTDROP10 vous offre 10 % de réduction sur votre commande, sans minimum d’achat, jusqu’au 30.09.2022 (code valable en France, en Suisse et en Allemagne)

Comme chaque été (et chaque hiver) depuis quelques années maintenant, je me suis offert une longue période de déconnexion « partielle » en désinstallant l’application Instagram pendant 2 mois. Cette déconnexion m’a libéré du temps, de l’espace mental, permis de réfléchir à mon usage des réseaux sociaux et des écrans de manière plus générale et d’entamer la rentrée plus sereine, avec de nouvelles habitudes pour être moins et mieux connectée au quotidien. J’en parle en détail dans mon article « Minimalisme digital – de nouveaux objectifs pour la rentrée ».

Cette déconnexion m’a par ailleurs permis de profiter pleinement de mes vacances à Saint Palais sur Mer où nous avons passé deux semaines début juillet. Je trouve les vacances rarement reposantes depuis que nous avons une enfant, bien au contraire, mais nous avons malgré tout passé de bons moments en famille et les 3 matinées qu’elle a passé au « Club Mickey » nous ont permis d’avoir un peu de temps pour nous et pour souffler un peu.


Il y a quelques mois je vous parlais de mon post-partum et de ma décision de ne plus avoir d’enfants. Au début de l’été, j’ai enfin trouvé le courage de descendre les cartons d’affaires de bébé que j’avais mises de côté, afin de les vendre ou les donner. En ouvrant le premier carton, mes larmes ont coulé à flot : face à ces petits habits, je me suis rappelée une nouvelle fois de l’état dépressif dans lequel j’ai été durant plus de 2 ans, de mon incapacité à profiter pleinement de mon bébé, du fait que jamais je ne connaîtrais les joies de tenir un tout petit bout de nous dans les bras. Au-delà de la douleur, j’ai aussi ressenti un sentiment de libération : vendre et donner les affaires dont nous n’aurons plus besoin m’a aidée, en quelques sorte, à concrétiser cette décision et à me projeter pleinement – et joyeusement –dans notre vie de famille à 3.

Cet été, j’ai porté sans me lasser deux pièces dont je vous ai déjà parlé mais qui méritent une nouvelle mise en avant tant elles sont confortables !
- Le no bra top Kim de Mina Storm – je l’ai porté littéralement jour et nuit lorsque j’étais chez moi, par temps très chaud. C’est devenu mon haut préféré pour supporter la chaleur à la maison et me couvrir un minimum sans avoir besoin de haut complètement couvrant.
Pour rappel, mon code promo affilié vous offre 10 % de réduction sur votre première commande Mina Storm (voir mes codes promos à la une enregistrés sur mon profil Instagram)
- Sandales Bahatika – je vous avais parlé de mes nouvelles sandales en début d’été, sans savoir ce qu’elles valaient en termes de qualité, et après une saison passées à mes pieds au quotidien, sur le béton, l’herbe ou les graviers, je peux dire qu’elles sont bien confortables et solides et qu’elles sont à priori bien parties pour durer plusieurs étés, contrairement à mon ancienne paire Minuit Sur Terre dont les semelles s’étaient cassées après quelques balades en ville !
Pour la rentrée, je me suis de nouveau équipée chez My 365 et après quelques hésitations, voici les modèles d’agendas/carnets pour lesquels j’ai opté cette année (les modèles suivis d’une astérisque (*) m’ont été offerts) :
- L’agenda Simple version rendez-vous – le même modèle que j’utilisais l’an dernier, disponible en plusieurs coloris, dont le violet, pour mon plus grand bonheur !
- Un organiseur (*) – je ne l’utilise pas en tant qu’agenda mais plutôt à la place de certains carnets – grâce aux intercalaires, j’ai 6 sections bien délimitées. En plus de réduire mon nombre de carnets, ça me permet d’avoir toujours sur moi les notes dont je peux avoir besoin pour les différents pans de ma vie pro et perso.
- Des carnets à spirales ou reliés (*) – j’en ai plusieurs et j’utilise ces derniers pour tout un tas de choses – recettes, cours d’allemand, projets divers, etc.
- Une grande pochette en chanvre et coton (*) – je la trouve hyper pratique pour transporter mes stylos, mes feutres effaçables, mes crayons de couleurs, mes Post-its, mon adaptateur pour le projecteur, mon téléphone, etc., au lycée. Je laisse les marqueurs et stylos que j’utilise de plus dans les poches extérieures afin de pouvoir les sortir facilement durant mes cours et les ranger tout aussi rapidement. À la base, cette pochette est conçue pour y glisser son agenda mais vous l’aurez compris, elle peut aussi faire office de trousse géante !


J’ai beaucoup moins lu que je l’avais espéré ces derniers mois (merci COCO !) mais les quelques romans, essais et BD dans lesquels je me suis plongée m’ont beaucoup plu. Une présentation détaillée des titres suivis d’un astérisque [*] se trouve dans l’article Favoris lectures #5.
Les sept sœurs, la sœur disparue, tome 7 de Lucinda Riley – c’est toujours avec beaucoup d’enthousiasme que je me suis plongée dans ce nouveau et avant-dernier tome de la saga des 7 sœurs et même s’il m’a moins absorbée que les précédents – un style trop répétitif et lent à mon goût –, j’ai une nouvelle fois apprécié la complexité de l’intrigue et il me tarde de découvrir le tout dernier tome en 2023 !
Où vivaient les gens heureux de Joyce Maynard [*] – un roman qui m’a beaucoup touchée et qui, malgré son titre, comporte beaucoup de tristesse et de souffrances. Au travers d’une belle diversité de personnages, l’autrice y aborde avec subtilité différent sujets de société autour du patriarcat et du capitalisme.
Les impatientes de Djaïli Amadou Amal [*] – un roman biographique très éprouvant à lire mais qui offre, dans un style unique, une vision très intime de la polygamie et des conséquences du patriarcat, à travers le regard de trois femmes camerounaises.
Betty de Tiffany Mc Daniel – un roman biographique que j’ai lu par « petites bouchées », tant la violence (physique et psychologique) qui caractérise la vie de Betty et de sa famille m’était insupportable. Malgré tout, c’est un roman d’une grande richesse qui, au-delà des souffrances qu’il dépeint, offre beaucoup de lumière, en particulier à travers Landon, le père de Betty. Très imprégné de sa culture Cherokee, les récits, mythes et traditions qu’il partage m’ont transportée et ouvert de nouveaux horizons.
Ne parlez pas de violences policières [*] – une BD passionnante qui m’a permis de mieux comprendre les rouages de la Police en France, ses dysfonctionnements, les moyens mis à sa disposition pour violenter les citoyen·nes, la disproportionnalité de ces moyens face aux dangers supposés ou inexistants, la banalisation de leur usage ou encore l’impunité et donc le pouvoir des policier·ères
Kiffe ta race de Rokhaya Diallo et Grace Ly [*] – dans cet essai très instructif sur le racisme, les autrices soulèvent des questions qui poussent à l’introspection et proposent des solutions pour faire face à certaines situations du quotidien, en tant que personnes racisées de manière défavorable ou bien en tant qu’allié·es. C’est à mon sens, un excellent ouvrage pour comprendre les bases du racisme, les formes qu’il peut prendre et son impact sur la société et les individus.


À défaut d’avoir lu autant que je l’avais espéré, j’ai écouté beaucoup de podcasts, en particulier durant mes premières journées covidées. Trop fatiguée pour faire quoi que ce soit mais incapable de dormir, les podcasts m’ont permis de m’occuper l’esprit de nombreuses heures !
Méta de Choc
- Le Féminin sacré – deux épisodes qui aident à mieux comprendre l’historique et le non-sens du concept de « féminin sacré ».
- Coaching, l’eldorado de la manipulation mentale – en trois épisodes, Elisabeth Feytit et son invité pointent du doigt les nombreuses dérives du coaching et les moyens par lesquels des gourous du coaching exploitent notre vulnérabilité à des fins capitalistes sans véritablement améliorer notre bien-être ou bien nous aider à atteindre nos objectifs personnels.
- Les dangers de la pensée positive – un épisode qui discute de l’inefficacité de la pensée positive et de ses conséquences délétères sur le bien-être des individus.
- Anthroposophie, le continent dissimulé – si vous manquez de temps pour écouter la série complète qu’Elisabeth Feytit a consacré à l’anthroposophie, cette table ronde vous donnera un bon aperçu de cette doctrine.
Présages
- Elisabeth Feytit : croyances New Age et écologie – un épisode qui permet d’en savoir plus sur le parcours d’Elisabeth Feytit, créatrice du podcast Méta de Choc et ex-adepte de croyances New Age.
Bouffons
- Free the gluten #184 – un épisode très instructif qui explique ce qu’est vraiment le gluten et revient sur de nombreuses idées reçues.
On s’appelle et on déjeune
Découvert grâce à l’une d’entre vous, ce podcast québécois à deux voix aborde, comme Bouffons, une diversité de sujets autour de l’alimentation.
- L’appropriation culturelle s’invite en cuisine
- Pensionnaires autochtones : cobayes d’études en nutrition
Allô Fée Dodo
- Quelle place du genre dans l’éducation ? – on avait un peu évoqué le thème du genre au cours de la formation que j’ai suivi sur la « parentalité positive », avec Lauranne de Happy Nanny, et je trouve qu’elle résume ici très bien l’importance d’éviter de mettre les enfants dans des cases genrées et ce dès leur plus jeune âge.
Un podcast à soi
- Trouble dans le couple – l’amour au temps du patriarcat, partie 1 – dans le même esprit que le formidable podcast Le cœur sur la table, ce premier épisode annonce une série très intéressante sur le thème du couple, ses normes, son poids et ses alternatives.
Yoga is dead [EN]
Dans ce podcast en anglais, deux professeures de yoga indo-américaines abordent en détail et sans langue de bois les dérives du yoga dans le monde occidental et la manière dont cette pratique ancestrale, spirituelle, gratuite et inclusive est devenue, aux mains des personnes blanc·hes, une pratique « tendance » propice à l’exploitation (des profs de yoga), à la compétition, au racisme, à la grossophobie, etc.
- White women killed yoga
- Karma capitalism killed yoga
- Gurus killed yoga
- Vinyasa killed yoga
- Vegans killed yoga
Si vous parlez anglais et que vous souhaitez pratiquer le yoga de manière aussi respectueuse et inclusive que possible, tout en soutenant le travail d’une personne d’origine indienne, sachez que Tejal, l’une des présentatrices du podcast a une chaîne YouTube et propose des cours en ligne.
I weigh [EN]
Cela fait quelques années que je suis l’activiste Jameela Jamil sur Instagram, mais je n’avais encore jamais pris le temps d’écouter son podcast, également en anglais. C’est chose faite à présent et j’écouterai certainement d’autres épisodes car j’aime beaucoup l’approche de Jameela et le style à la fois intime, engagé et décontracté de son podcast.
- Jane Fonda – cet épisode m’a permis de découvrir le parcours et les engagements de cette actrice et activiste dont je ne savais pas grand-chose. C’est rare d’entendre des personnes de 84 ans s’exprimer dans un podcast et ça fait du bien de voir enfin un podcast qui donne la parole à une réelle diversité de personnes.

Je ne regarde pas la télévision mais je consulte régulièrement le site d’Arte TV qui propose une belle diversité de films, séries et documentaires très fouillés – voici ci-dessous ceux que j’ai regardé depuis le début de l’année (et non pas juste cet été !).
Séries
Berlin 56-59-63 – j’ai énormément aimé cette série qui nous plonge dans le Berlin des années 56 à 63 et qui touche à une grande diversité de sujets de société (patriarcat, racisme, homophobie, etc.) tout en cassant de nombreux codes. Malgré des moments de joie et de légèreté, ça reste une série « dramatique », avec beaucoup de tensions, de violences (en particulier psychologiques) et de tristesse.
La maison de la rue en pente – il faut avoir le cœur accroché pour regarder cette série japonaise qui met en parallèle l’histoire d’une mère accusée d’infanticide et celle d’une des jurées de son procès, une jeune mère particulièrement troublée par l’histoire de l’accusée. C’est une série qui aborde, en toute subtilité, les thèmes de la dépression post-partum, de la maternité, des pressions sociales et des inégalités dans le couple (la série n’est plus disponible en accès libre mais peut-être qu’elle le sera de nouveau)
Good vibrations – gros coup de cœur pour cette série anglaise qui dépeint le quotidien peu réjouissant de quelques femmes de classes et aux situations personnelles diverses et qui finissent chacune par devenir, contre toute attente, représentantes d’une marque de lingerie. La solidarité qui les unit fait chaud au cœur et est un bel exemple de sororité.
Victoria– intriguée par l’histoire de la famille royale anglaise et par le pouvoir qu’elle détient encore aujourd’hui (non pas que j’admire cette institution, bien au contraire, son existence et son fonctionnement me dérangent profondément), j’ai bien aimé découvrir le personnage et l’histoire de la Reine Victoria ainsi que les événements clés de son règne, à travers cette série anglaise. Seule la fin est décevante, elle a un goût d’inachevé, comme si la production de la série s’était arrêtée du jour au lendemain !
Documentaires
Chine : le drame ouïghour – cette investigation très rigoureuse, qui se base sur une diversité de témoignages, permet de comprendre les mécanismes utilisés par le gouvernement chinois pour oppresser le peuple Ouïghour et conduire à leur génocide culturel. C’est un documentaire extrêmement poignant et riche mais j’aurais aimé qu’y soit abordé de manière plus détaillé le rôle de la Belt and Road Initiative dans leur répression systémique.
Instagram – La foire aux vanités – un documentaire très intéressant pour en savoir plus sur l’histoire et l’évolution d’Instagram et notamment la manière dont l’application et la place des influenceur·ses ont modifié le fonctionnement de la publicité.
Inde – enquête sur le commerce illégal des raies – un documentaire édifiant, réalisé par une jeune journaliste indienne qui enquête sur le trafic des raies mantas, tuées pour leurs branchies, le long des côtes indiennes, et vendues en Chine comme un élixir de jouvence.
La nouvelle puissance indienne – Le monde selon Modi – un documentaire qui retrace le parcours du Premier Ministre indien Modi et donne une vue d’ensemble de ses idéaux de droite et de son influence en Inde et au-delà. Si vous ne savez pas pourquoi célébrer la Journée Internationale du Yoga est problématique, vous y trouverez la réponse 😉.
Le business du bonheur – en écho à l’épisode « Les dangers de la pensée positive » du podcast de Méta de Choc, ce documentaire enquête sur l’évolution du développement personnel et de la psychologie positive et pointe du doigt leurs limites. Moins critique que le podcast d’Elisabeth Feytit, je trouve que ça reste un bon complément au podcast, qui permet de comprendre l’histoire et le rôle de ces pratiques et courants de pensées et d’entendre une diversité de points de vue d’expert·es à leur sujet.

Waouh, quel article plein d’idées ! Un jour je me mettrai peut-être aux podcasts, car tes recommandations me tentent. Cet été, j’ai eu le plaisir que le Pinto parte en mini camp (2 nuits) et que non seulement ça se passe super bien mais qu’il revienne en ayant accepté d’y manger des pâtes au pesto et du quinoa : deux aliments que je vais pouvoir mettre au menu plus facilement ! J’ai aussi pu partir 2 fois plusieurs jours avec Doudou, et si le premier petit séjour nous a servi à dormir et dormir pour combler notre fatigue de l’année scolaire, pendant le deuxième séjour on a profité du fait de vivre à deux. Et enfin, j’ai pu passer une journée à Paris juste avant la rentrée scolaire pour suivre plusieurs heures de cours de danse avec la prof que j’adore https://makodanse.com/ C’était donc un été exceptionnellement agréable pour moi.
Bonjour Sandrine,
La lecture de tes petits bonheurs verts me réjouit pour toi !
À chaque fois que l’on peut ajouter un nouvel aliment à la liste des choses que notre poussinnette mange volontiers, ça nous facilite un peu plus la vie, donc je comprends ta joie (actuellement on jongle entre une dizaine d’ingrédients, c’est tellement limitant…).
J’ai justement dit à J. à plusieurs reprises ces derniers mois combien j’aimerais qu’on puisse s’offrir un week-end rien que toustes les deux – peut-être un jour pourrons-nous nous organiser avec des voisin·es/ami·es pour qu’iels s’occupent de poussinette un ou deux jours.
J’espère que ta rentrée se passe bien et que tu trouveras des moments de répit entre tes divers impératifs.
Je t’embrasse.
bonjour, sympa que cet été à 3 fut doux !
De mon côté: plusieurs pas verts sans doute, mais je retiens surtout celui-là: ma fille et moi sommes devenus végétariennes fin juillet (à l’initiative de ma fille).
En voilà un sacré pas !
Je vous souhaite de vous régaler toutes les deux et je trouve cela vraiment chouette que vous soyez deux à avoir fait ce choix en même temps – c’est certainement plus motivant et rassurant que lorsqu’on est seul·e au sein de sa famille, d’avoir quelqu’un·e d’entre avec qui échanger sur le sujet et faire face aux éventuels remarques et questionnements de l’entourage.
En fait, inconsciemment je crois que je voulais sauter le pas depuis longtemps mais ce n’est pas moi qui cuisine donc je me l’interdisais probablement. Ma fille a été très touchée que je l’accompagne et moi très reconnaissante qu’elle m’ait permis de me lancer. Mon mari nous soutient totalement et on a remis à plat notre façon de manger en famille. Il y avait déjà peu de viande mais là il y en a encore moins et mon mari a plaisir à tester des recettes et de nouveaux ingrédients. J’ai dévalisé le rayon cuisine de notre médiathèque ! Nos fils nous font des blagues mais c’est dans nos habitudes de nous moquer gentiment les uns des autres. Dans mon entourage plus large, ça passe très très bien ! Même auprès de mes parents qui sont nés pendant la guerre et pour qui un repas=une viande. En fait à part les 1ers jours, ça a vite été une « évidence de toujours ». Je crois que c’est moins original qu’il y a quelques années.
Coucou Natasha, encore une fois, cet article m’inspire !
Tout d’abord, je vais parler de mes (mon ?) propres pas verts de l’été : j’ai fait tous mes voyages en train (mais ça, c’est pas compliqué vu que j’ai pas le permis…). Mais surtout, j’ai réussi à me végétaliser plus que d’habitude. Plusieurs fois, au restaurant, il y avait une option végétarienne et c’est celle que j’ai choisie et en plus, c’était délicieux ! C’est pas grand-chose, mais sans être prête à abandonner la viande, j’ai méga ralenti ma consommation de viande rouge (non pas que j’en mangeais tous les jours ! mais je suis passée à une à deux fois par mois).
D’autre part, j’ai été très déprimée de la météo cet été (et tout ça sans clim, parce que c’est quelque chose que je ne supporte pas et là, je suis beaucoup plus drastique que pour la viande rouge…), mais je me sens vraiment face à une impasse.
Je vais maintenant réagir à ton article. Je comprends complètement ton intérêt pour Everdrop, mais en découvrant le site, j’ai eu l’impression qu’il y avait plein de produits différents, notamment plusieurs types de lessive. Ça me fait fuir direct. Y a juste leur produit WC qui m’a interpellée, car j’avoue avoir du mal à m’en sortir avec mon vinaigre et surtout, je galère pour les odeurs. Mais tout le reste marche au poil chez moi. Il faut dire qu’ici, on peut acheter son vinaigre par bidon de 5 l et que c’est un format hyper pratique pour récupérer après le jus de mes vers…
Quand je suis tombée sur le chapitre Maternité, ça m’a également fait mal au cœur pour toi et pour ta détresse. Et j’ai trouvé hyper courageux pour vous deux cette décision de ne plus avoir d’enfants ! Et surtout, bon courage pour toutes les remarques à la con du style : alors, c’est pour quand le petit frère ? Elle est très mignonne cette gamine mais il lui faut un petit frère, c’est tellement nase les enfants uniques… Tous ces jugements tellement magnifiques et intrusifs !
J’ai craqué, j’ai acheté les mêmes sandales que toi (en version argentée) et je les adore également ! Quand je vois mes sandales de marche et leur état d’usure au bout de 3 ans (seulement !) d’utilisation (bon OK, je n’ai mis que ça en continu pendant ces 3 étés), je me dis que ça s’abîme vite.
Merci pour les podcasts, parfois maintenant, j’en écoute dans le TGV et c’est bien agréable (ou en faisant des travaux répétitifs et ne nécessitant aucune concentration). Celui sur le genre me parle et quand je lis « je trouve qu’elle résume ici très bien l’importance d’éviter de mettre les enfants dans des cases genrées et ce dès leur plus jeune âge », je me dis qu’on est bien loin du compte. Il suffit d’aller au parc, à la bibli ou à la garderie pour voir que c’est pas ça ! (Et ça m’énerve, mais bon, pas trop de pouvoir là-dessus, en tout cas sur le moment).
Quant au yoga, j’ai toujours détesté, merci de me donner une raison concrète de le fuir à tout prix ! 😉
Pour les séries, génial les bonnes idées ! Nous aussi, on consulte le site d’Arte, mais ça fait des mois qu’on y a pas pensé (forcément, on était en vadrouille…). En plus, les épisodes courts sont parfaits quand on est crevés et qu’on a envie de regarder quelque chose quand même, j’arrive à ne pas m’endormir devant !
Marrant que tu évoques la Belt and Road Initiative, je n’avais aucune idée de son existence avant la fin août où j’ai corrigé un atlas historique et où je m’y suis trouvée confrontée à diverses reprises ! Ça m’a donné l’occasion de replonger dans plusieurs époques historiques, notamment coloniales et j’ai encore pensé à toi… À ce propos, si tu es toujours motivée pour partager les horreurs historiques d’une famille cambodgienne, je te conseille la BD L’année du lièvre de Tian. Très intéressant et émouvant (et éprouvant) !
Bonjour Carole,
Très chouette tous ces petits pas et bonheurs verts ! J’espère qu’entre tout ça, tu as aussi passé de bons moments à la plage 🙂
Effectivement, il y a pas mal de lessives différentes chez Everdrop et cela peut sembler superflu. Ce que je trouve intéressant c’est de pouvoir choisir sa lessive en fonction de la dureté de l’eau. Néanmoins, j’ignore si cela à un impact vraiment notable d’un point de vue écolo, je n’ai pas plus creuser le sujet que ça. Pour ma part je fais ma lessive avec des copeaux de savon de Marseille, c’est bien plus économique – un sac de copeaux de 1 kg qui coûte entre 15 et 20 euros me dure bien deux ans et on utilise la même lessive pour tout notre linge.
Les questions sur un·e éventuel·le 2e enfant, ça fait déjà longtemps qu’on les a. Des fois, j’aimerais juste dire que je n’ai plus d’utérus (ce qui est faux) pour faire comprendre combien cette question est personnelle (mais je n’oserais probablement jamais, sauf si j’ai une personne détestable face à moi, haha !).
En parlant de détester… je me dis que tu as dû avoir des expériences terribles pour en venir à détester le yoga dans son ensemble. Ma remarque sur la journée mondiale du yoga n’est pas une critique du yoga mais de l’existence-même de cette journée instaurée à l’initiative d’un Premier Ministre de droite et célébrée à travers le monde par des adeptes du yoga qui ne savent clairement pas grand-chose du yoga, de ses origines, de sa philosophie et de Modi ! En revanche, ce que je déplore c’est l’appropriation culturelle autour du yoga et la manière dont des occidentaux•ales blanc·hes se sont approprié·es cette philosophie (car oui, le yoga n’est pas juste une activité physique et encore moins un sport), l’ont déformée, déracinée, dénuée de son âme, et en ont fait une pratique élitiste, compétitive, discriminatoire… qui ternit vraiment, in fine, l’image du yoga, voire de l’Inde et de ses cultures.
Cool pour les sandales, j’espère qu’elles te feront plus de 3 étés ! Ma meilleure paire m’a duré une dizaine d’années 🙂
C’est grâce à l’une de mes élèves de Hong Kong, il y a deux ans, que j’ai appris ce qu’était la Belt and Road Initiative, au cours d’une présentation sur l’oppression des Ouïghours d’un point de vue économique.
C’est noté pour la BD, merci ! Je ne suis pas encore remise de Betty donc pour le moment je lis plutôt des revues.
Bonsoir Natasha,
J’adore Méta de choc. Je rattrape mon retard vu qu’il existe depuis quelques années. Je suis tombée de haut concernant l’anthroposophie. Emballée par les écoles Steiner suite à un reportage j’avais souhaité travaillé là-bas. Ma situation pro se décante un peu. Je vais entamée un bilan de compétences. Le 2ème mais celui là a l’air plus complet que le 1er. J’en saurai plus mardi mais en attendant je dois retourner à la crèche. Cela ne me plaît pas du tout. Mes responsables ont accusé le coup.Elle pensait ne plus me revoir. Demain je saurai si c’est pour être auxiliaire ou pas. Ce sera le temps que je me reconvertisse. Rien n’est clair. J’ai aimé travaillé avec les enfants mais je sais que je n’ai plus l’envie ni la force physique et psychique.
Bonjour Christel,
Je suis navrée de lire que ta situation professionnelle soit encore compliquée et j’espère que ce second bilan de compétences te permettra d’entamer ta reconversion au plus tôt.
Comme toi, j’ai découvert Méta de Choc sur le tard (il y a un peu moins d’un an) donc j’épluche encore les archives.
Je te souhaite bon courage pour faire face aux changements dans ta vie pro.
Merci pour tous ces partages
Je me suis moi aussi lancée dans les Podcasts Meta de Choc grâce à Mélanie du Cul de Poule. J’ai encore beaucoup à apprendre et déapprendre
Avec plaisir !
Effectivement Méta de Choc est un bon podcast pour remettre en question et décrypter ses croyances !
Quel plaisir de retrouver ce type d’articles ici 🙂 Merci !
Pour ma part, je me souviendrai surtout d’un week-end de 3 jours en amoureux, on est partis un peu au hasard, sans rien prévoir, à Ax-les-thermes (à 2h30 de chez nous), c’était super ! Sinon, j’ai beaucoup travaillé cet Été, je suis fatiguée mais cnest une bonne chose : cette année enfin j’ai retrouvé un salaire convenable et stable (la période des confinements avait eu un impact très important sur mon travail, et donc mon mental).
Bonjour Lucile,
Je te souhaite de pouvoir profiter pleinement de cette tranquillité retrouvée du côté de tes revenus 🙂
Que de découvertes en lecture, podcast, série… je rebondis sur le fait de ne pas vouloir d’autre enfant c’est un pas difficile à franchir je trouve, ici c’est également le choix que l’on a fait, on trouve que la vie va deja bien assez vite avec une et qu’ à 4 ans, elle devient autonome, joue un peu seule… et du coup cela nous permet d’avoir du temps pour soi… et deuxième choix qui a pesé c’est le fait qu’on a deja eu du mal a avoir notre fille donc on ne veut pas repartir dans une nouvelle galère…et comme toi on commence à vendre ses affaires et ça fait bizarre de se dire que ça y est on ferme cette page de la petite enfance.
Merci pour ton partage, j’ai l’impression que notre expérience avec la maternité a pas mal de points communs.
Quand il était encore question que nous ayons peut-être un·e autre enfant, on était d’accord sur le fait qu’on ne se lancerait pas dans de parcours de PMA si jamais j’avais de nouveau du mal à tomber enceinte – au-delà des difficulté de la parentalité en elle-même, il est clair que les difficultés à tomber enceinte ou bien celles de la grossesse peuvent influencer notre désir ou non d’avoir d’autres enfants.
Bonjour Natasha, merci pour ces nouvelles qui sont autant de bons conseils.
En ce qui concerne les podcasts, j’ai écouté un épisode de l’émission Cultures monde, de France Culture, consacré au yoga. L’émission est vraiment complète, nuancée et explique clairement les enjeux anciens et actuels autour du yoga. De manière générale, l’émission Cultures monde est toujours de grande qualité. J’ai aussi écouté une série de podcast de la série documentaire LSD, toujours sur France culture, sur la grande peste noire. Passionnant, notamment sur les conséquences qu’a eu l’épidémie du 14e siècle sur l’économie et les techniques agricoles.
Concernant les séries, j’ai aussi regardé Berlin 56, ne inconditionnel d’art également. Mais j’avais été très gênée par un passage de la série, dans lequel l’héroïne, victime de viol, finit par tomber amoureuse de son agresseur et même par l’épouser ! J’avais trouvé cet épisode choquant car il contribue selon moi à la culture du viol et à l’idée qu’un viol n’est qu’une déclaration d’amour maladroite… En plus, l’épisode ne cadre pas avec le reste de la série qui traite beaucoup de l’émancipation féminine.
Dans mes coups de cœur série de ces derniers mois, aussi sur arte, j’ai regardé En thérapie. La série est très longue, 35 épisodes par saisons. Mais le rythme calme, l’humanisme qui ressort des épisodes m’ont beaucoup plu.
Enfin, dans les coups de cœur ecolo, notre boutique de village qui vend des accessoires de bricolage et cuisine a installé un rayon de vrac de produits ménagers bio, produits dans la Drôme : lessive, tablettes lave vaisselle, produits nettoyant… Tout est accessible à 2 pas de chez nous, dans des contenants réutilisables à l’infini.
J’ai aussi adhéré à une coopérative bio dans ma région, où je trouve tous mes produits bio, à un prix abordable. J’y trouve aussi du vrac et des grands formats (huile ou jus). Avec notre Amap locale à laquelle nous adhérons depuis 2 ans et où nous trouvons fruits, légumes, produits laitiers, œufs et farines, pains et champignons, nous avons des solutions d’achats en phase avec nos valeurs, et ça me réjouit !
Bonjour Stéphanie
Merci pour tes partages. L’émission Culture Monde semble vraiment passionnante. J’avais justement commencé à écouté celle sur le yoga.
Concernant la série Berlin 59, je te rejoins complètement pour ce qui est du mariage entre Monika et l’homme qui l’a violée – c’est extrêmement perturbant et en même temps je trouve que l’on voit bien comment elle en est arrivée là : sa mère lui met énormément de pression pour qu’elle l’épouse avant ET après le viol. Il y a donc déjà une intention posée en ce sens dès le départ qui explique comment Monika, sous le poids des pressions sociales, finit par s’ouvrir à cette possibilité. Néanmoins, je trouve perturbant que cette relation, même si elle met du temps à se concrétiser, qu’elle est très compliquée et qu’elle dure peu de temps finalement, soit par moments très romantisée et que le violeur soit lui aussi présenté comme une victime (dans d’autres contextes). Je suis de ton avis, cela participe à la culture du viol.
En Thérapie fait également partie des séries que j’aimerais regarder, du coup je suis contente de lire ton avis positif à son sujet.
Bonne rentrée Natasha !
Je trouve incroyable tout ce que tu as le temps de lire, d’écouter et de regarder… quelle chance ! si j’ai eu le temps de regarder un film et finir deux livres dans l’été, j’ai un sacré sentiment d’accomplissement.
Bisous à vous 3.
Yanna
Merci Yanna.
Je me réserve un créneau pour regarder une série et/ou lire chaque soir – parfois c’est juste 20 minutes, parfois 1h30, mais c’est sans nul doute le fait de reserver un créneau quotidien à ces activités qui me permet de lire autant 🙂
Je t’embrasse !
Je te pique quelques idées de podcast / séries. Merci pour ce retour, c’est impressionnant tout ce que tu as réussi à découvrir et nous restituer.
(comme toujours, c’est aussi un vrai bonheur de te lire)
Avec plaisir Roanne, merci pour ton intérêt pour ces partages 🙂
Salut Natasha, wahou encore une fois ton article me semble une vraie mine d’or ! Je suis heureuse de découvrir cette marque de produis nettoyants mais aussi très inspirée par tes nombreux petits témoignages ainsi que par les idées de lectures, podcasts et documentaires. Merci pour tout ça !
De mon côté j’ai passé un très bon été en France, avec du temps en montagne mais aussi à la plage pour une fois. Des réunions de famille et un très beau mariage d’amis. Je suis rentrée en Belgique pleine d’énergie pour cette rentrée 🙂
Belle journée à toi Natasha !
Bonjour Myriam,
Je suis heureuse de lire que tu as passé un bel été !
Pour ma part, je n’ai pas pu voir mes montagnes préférées cet été alors vivement les prochaines vacances 😉
Je souhaite que cette belle dose d’énergie estivale te porte à travers l’automne et l’hiver !
Belle semaine à toi.
wahoo, décidément, j’adore cette catégorie d’articles ! C’est tellement inspirant, pour deux raison, d’abord, évidement, les idées que tu déposes ici, mais ensuite l’envie de faire un peu la même chose, pour se faire du bien, pouvoir jeter un œil dans le rétroviseur et se dire, que finalement, c’est pas si mal tout ça, malgré un quotidien à 100 à l’heure !
Encore merci de partager 🙂
Merci pour ton enthousiasme Léonor 🙂
Bonjour Natasha,
Je suis heureuse de lire que tu as profité de ton été.
Pour ma part, je suis devenue maman d’un second enfant cet été.. Ce qui je dois dire éclipse un peu tout le reste ^^’
Il a maintenant 6 semaines et le rythme à 4 n’est pas facile à trouver mais mon grand bonheur et que le premier, qui a 2 ans, est fou d’amour pour le petit (c’était une de mes grandes craintes).
Pour l’instant on compte chaque jour qui passe avec comme but d’arriver au bout de la journée mais on sait que ça devrait aller de mieux en mieux au fil des prochains mois. Comme si nous n’étions pas assez fatigués, nous avons entamé un grand désencombrement, lié au réagencement de la maison avec une chambre d’enfant de plus. C’est encore en cours et même si nous avons l’impression de ne jamais nous arrêter, cela fait beaucoup de bien de voir notre maison devenir telle que nous le souhaitons et pas avec du bazar accumulé partout…
Je dois bien avouer que la fatigue m’a retenue de poster des commentaires sous tes derniers articles mais que je les ai lus avec plaisir.
J’imagine ta douleur et ton soulagement quand à ta décision de ne plus avoir d’enfant. J’espère que tu ne souffrira pas trop des questions non désirées et te souhaite déjà tout le courage qu’il faut pour y faire face.
Pour ma part, le petit n’avait pas une semaine quand plusieurs personnes, incluant ma gynécologue et mon papa, m’ont parlé d’un troisième enfant malgré mon affirmation de ne pas en vouloir plus. Je trouve ça révoltant !
Bonjour Pauline,
Bienvenue à ton petit bébé ! J’espère que ce nouveau chapitre de votre vie çà 4 sera remplie de joies et de douceur !
Merci pour ton message plein de compassion et bon courage à toi également pour la suite de ton post-partum, en espérant que tu sois bien entourée.
Merci de tout coeur pour cet article ! J’ai déjà écouté le 1er sur le yoga (White Women killed yoga) et vais continuer de piocher dans tes suggestions au fur et à mesure.
Alors, mes petits pas et bonheurs: notre grimpeuse en herbe fait de plus en plus fréquemment des nuits de 12h sans [nous] réveil[ler]; je me réjouis chaque jour d’avoir la chance de la voir grandir et faire de nouvelles découvertes et expériences; les douleurs articulaires se sont calmées me permettant de reprendre un peu mes aiguilles à tricoter; j’ai beaucoup lu cet été – pour le plaisir – et pris conscience que j’aimais toujours autant lire du fantastique et de la SF.
Je te souhaite une bonne journée, au plaisir de te lire.
Avec plaisir Mathilde !
Et quelle bonne nouvelle pour les nuits de ta fille, je sais combien c’est précieux de pouvoir enchaîner des nuits complètes de manière générale et en particulier quand on a un petit bout dans sa vie 🙂.
Bonjour Natasha,
J’aime beaucoup ces articles qui donnent des idées de lectures, podcast et séries, tu me fais découvrir de nombreuses choses.
Tout comme toi, j’ai beaucoup aimé Betty et Les impatientes, des lectures marquantes, qu’on garde en tête longtemps.
J’ai découvrir la série Good vibration, je l’ai dévoré même. Merci pour la découverte !
Bonjour Alix,
Avec plaisir ! J’ai également adoré cette série, la diversité des personnages et des sujets de sociétés abordés, avec délicatesse et humour !
Bonjour Natasha, je trouve enfin un peu de temps pour réagir à ton article!
J’ai eu un hiver pas piqué des vers, pfff, ce premier semestre a vraiment été dur dur. Mais j’espère que le plus difficile est derrière moi.
Je t’admire en voyant la « facilité » avec laquelle tu parles du fait de ne pas avoir de 2ème enfant, moi je n’ai pas encore digéré la chose…
Mais cette section étant pour les petits bonheurs, je vais donc aborder les points positifs:
VIE SOCIALE
– mon amie qui avait perdu son bébé à la naissance l’an dernier a eu une petite fille en juillet, je suis tellement heureuse pour elle;
– j’ai recu la visite d’un ami le temps d’un après-midi et je suis allée dormir chez une amie, c’était super chouette de papoter non stop pendant 24 heures.
ACHAT
– j’ai commandé l’agenda my365 et l’ai rempli avec beaucoup de joie et de concentration, c’était vraiment un bon moment et ca m’a beaucoup aidée à me projeter pour cette nouvelle année;
– je me suis offert un puzzle de 1.000 pièces sans trop savoir pourquoi et en fait c’a été une chouette expérience;
– j’ai commandé plusieurs livres pour enfants normalisant les familles multiculturelles car c’est un sujet qui perturbe Pitchou.
QUALITÉ DE VIE
– suite à la lecture de ton article sur la déconnexion, j’ai décidé de lire 30 minutes le matin et 30 minutes le soir. Je ne m’y tiens pas totalement mais ca me fait beaucoup de bien, merci pour le coup de pouce! J’essaye aussi de me programmer de mini-séances de bricolage/manualités hebdomadaires (de 15/20 minutes), je suis loin d’y parvenir régulièrement mais rien que cette perspective m’enjoue;
– le groupe de lecture que j’ai organisé à la bibliothèque prend forme et nous sommes dorénavant un petit groupe d’habitués de tous âges qui avons grand plaisir à nous retrouver;
– j’ai pris des résolutions au niveau personnel qui me donnent de l’entrain et de l’énergie pour me projeter et aller de l’avant;
– j’ai eu l’immense chance de trouver un traitement immédiatement efficace contre le trouble dysphorique prémenstruel, cela m’a littéralement changé la vie et libérée d’un ENORME poids, j’ai l’impression que mon corps et mon cerveau peuvent enfin souffler après tant d’années à lutter;
– j’ai organisé plusieurs sorties avec la fille aînée de mon amie de l’âge de Pitchou et cela me fait chaud au coeur de les voir s’entendre si bien <3
– nous avons modifié le rythme de garde alternée, l'école autorisant Pitchou à n'assister aux cours que 3 jours par semaine, ce qui me permet de récupérer du temps de qualité avec lui, et lui est nettement moins fatigué et donc beaucoup plus joyeux, bref, tout le monde y gagne!
DIVERS
– j'ai lu notamment "Tea Rooms – femmes ouvrières" de Luisa Carnés, c'était différent que ce à quoi je m'attendais mais j'ai trouvé la lecture fort intéressante en sachant notamment que ce roman avait été écrit en 1932;
– j'ai aussi lu "Chocolat amer" (Como agua para chocolate en V.O.) de Laura Esquivel. Cela fait bien longtemps que je n'avais plus eu autant plaisir à dévorer un livre (qui se passe en grande partie en cuisine en plus, génial!). J'ai vraiment été happée par le style (bien qu'un peu déroutant au début) et je me suis absolument délectée du récit. C'était une lecture riche en événements, gourmande, optimiste sans être superficielle, cela m'a fait grand bien!
– j'ai regardé sur Netflix la série "Chocolate", bien cliché mais c'était pile ce dont j'avais besoin (et puis avec un titre pareil, je ne pouvais pas passer à côté!) et surtout, sur la fin Pitchou a accroché et me reparle depuis des péripéties du Dr Kang et du Dr Lee Jun, ca me fait beaucoup rire et en même temps ca m'a beaucoup touchée de le voir enthousiaste de regarder une série avec moi (et pour le coup merci la pudeur car il n'y avait pas de scènes qui auraient pu le choquer, j'ai juste dû lire les sous-titres à voix haute puisque seule la VO en coréen était disponible, haha)
– j'ai aussi regardé quelques épisodes de "Extraordinary attorney Woo",
– j'ai regardé la mini série "Unorthodox" qui se déroule à Berlin, ce qui m'a le plus plu est qu'on y voir plusieurs scènes dans un conservatoire de musique et qu'on y entend la sérénade pour orchestre à cordes de Dvorak, une oeuvre qui me touche profondément.
Bon, comme d'habitude, je me suis étalée mais je te remercie de me donner l'occasion de faire une synthèse trimestrielle positive, c'est réconfortant.
J'espère que tu parviens à trouver un rythme maintenant que le mois d'octobre approche
Bonjour Delphine,
Merci beaucoup pour ce partage détaillé !
Concernant la décision de ne pas avoir d’enfant, je pense que c’est justement le fait de l’exprimer clairement qui m’aide à digérer cette décision un peu plus facilement au fil du temps.
Je te souhaite de pouvoir puiser beaucoup de joie au cours de ton printemps 🙂
Bonjour Natasha, merci beaucoup pour cet article, c’est toujours agréable d’apprendre que quelqu’un a passé un bel été ! Et merci pour toutes les ressources que tu nous partage, même si je ne suis que rarement tes recommandations faute de temps pour lire et écouter TOUT ce dont j’aurais envie (!), à chaque fois c’est un succès !
J’en profites pour faire un retour ici sur un article un peu ancien au sujet de la littérature pour très jeunes enfants que tu avais écris : j’ai acheté plusieurs des livres dont tu parlais (à priori pas des choses que j’aurais choisi moi même) et ça a été un vrai succès auprès de ma fille.
Alors merci !
Bonjour Mathilde,
Oh chouette pour les livres !
Moi je suis régulièrement surprise par les livres qui plaisent à ma fille – c’est pourquoi je trouve super d’avoir accès à une bibliothèque où elle peut choisir ce qui lui plaît elle et le plus souvent ce sont des livres que je n’aurais pas choisis moi-même.
C’est toujours avec une grande joie que je lis tes petits pas et bonheurs verts. Le passage sur le deuil d’une seconde maternité m’a beaucoup émue. Je ne pense pas avoir de troisième enfant mais n’arrive pas encore à me résoudre totalement à ce scénario…
Voici quelques petits bonheurs de cet été (qui a été très épuisant en tant que maman) : revoir ma famille en France, aller à la mer, redécouvrir l’été français, la nourriture française, la nature, lire, me déconnecter, participer pour la première fois à un atelier d’écriture, voir ma fille développer son français et mon fils évoluer vers un rythme plus doux en journée, ne pas mettre de masque (c’est toujours obligatoire à l’intérieur en Corée). Ça fait trois semaines que je suis rentrée et tout ceci me semble si loin déjà !
Je te souhaite une belle fin de semaine 🙂
Bonjour Pauline,
Merci pour ton partage.
Ce n’est pas évident je trouve de fermer définitivement des portes qui pourraient encore rester ouvertes et qu’on préfère fermer pour un tas de raisons mais qu’on aurait aimé pouvoir pousser une autre fois, une dernière fois… si la situation passée ou présente avait été différente. C’est un deuil à faire, c’est certain. Courage à toi pour cette étape !