Quelques jours à peine après avoir découvert que j’étais enceinte, J. avait déjà mille et une idées de bricolages pour aménager de quoi ranger les affaires de notre bébé ainsi que pour la coucher et la changer ! Au départ, pour le change, je me disais personnellement qu’une simple table installée dans la chambre de notre enfant pourrait faire office d’espace à langer – nous en avions d’ailleurs une à la cave. Finalement, J. a tenu à aménager une table à langer dans la salle de bains et heureusement car à partir du moment où nous nous sommes retrouvé·es à changer plusieurs couches par jour (et par nuit les premières semaines !), j’ai réalisé combien mon idée récup’ et minimaliste m’aurait été inconfortable. Il faut dire que j’apprécie de changer notre enfant dans la salle de bains car dans certains cas(cas !), les lingettes humidifiées étant loin d’être suffisantes, je suis bien contente d’avoir accès à un évier (même si j’aurais bien entendu pu m’en passer). D’autre part, pour en avoir fait l’expérience sur plusieurs semaines à l’extérieur, changer un·e enfant posé·e sur une table trop basse, ça fait mal au dos ! Nous aurions bien évidemment pu nous passer d’un espace conçu spécifiquement pour le change : le sol, un lit ou encore un canapé sont des endroits tout aussi adaptés. Néanmoins, pour nous, le change étant très vite devenu un moment propice aux échanges, aux jeux et aux massages, j’apprécie vraiment de pouvoir faire tout cela tranquillement et confortablement, sans ressentir le besoin de me/la presser à cause d’un dos qui tire.
Notre espace à langer se trouve donc dans la salle de bains et il s’agit de simples planches (achetées neuves puis coupées aux bonnes dimensions) fixées au-dessus et sur les côtés de la machine à laver. La planche principales est presque aussi longue que le matelas à langer (il dépasse de quelques centimètres, mais ce n’est pas gênant) et elle est suffisamment large pour contenir le matériel de change sur les côtés. Une fois que notre enfant sera continente, cet espace pourra servir à autre chose (support pour des plantes par exemple ou encore pour des corbeilles ou boîtes de rangement). C’est l’avantage de ne pas avoir investi dans une table à langer à proprement parler.
Maintenant que je vous ai expliqué toute l’importance de cet espace à langer dans notre quotidien, je vous propose de découvrir ce qui s’y trouve : le matelas, les lingettes, les couches, les produits, etc., pour lesquels nous avons, dans l’ensemble, fait des choix aussi éthiques et écolo que possible. Bien entendu, il ne s’agit pas là d’une liste de produits essentiels au change de toustes les bébés, mais de ceux qui nous sont indispensables – comme dans tous les autres domaines, certain·es parents se contenteront de bien moins de choses et d’autres apprécieront d’en avoir un peu ou beaucoup plus.

Matelas à langer
Lorsqu’on change un·e enfant sur une surface dure et qu’on aime prendre son temps, je trouve que ça vaut la peine d’investir dans un matelas à langer. Autrement, une serviette épaisse et/ou doublée peut aussi très bien faire l’affaire. De notre côté, nous avons opté pour un matelas fabriqué en Europe de la marque Pinolino, mentionné par Céline (Les mots ailés) que nous recouvrons d’une serviette de toilette ou bien d’un lange (parce que, même si je n’ai jamais essayé, je suppose qu’être allongé·e nu·e sur du plastique, cela ne doit pas être particulièrement confortable et dans ce cas, autant se passer de matelas, aha !). En cherchant un peu, j’aurais certainement pu trouver un modèle d’occasion ou bien plus écolo mais à ce moment-là, j’avais d’autres priorités. En tout cas, ce matelas fait très bien l’affaire mais il n’a rien d’exceptionnel et il est déjà déchiré par endroits.

Couches lavables [1]
Du côté des couches, nous avons décidé de privilégier les lavables[2], sans nous interdire pour autant l’usage des jetables lorsque cela nous paraît plus pratique (voir paragraphe suivant). Voici les différents modèles que nous avons utilisés jusqu’à présent (je publierai un article plus détaillé avec notre avis sur les marques et modèles testés dans quelques mois, lorsque j’aurai suffisamment de recul pour en parler) :
Pour le jour
- Les couches classiques taille 1 en bambou, coton et microfibre de la marque Little Lamb. Ces couches nous ont été prêtées par des ami·es et nous les avons utilisées de la naissance aux 4 mois de notre enfant. Nous les avons trouvées très pratiques et efficaces.
- Les couches TE3 (T.MAC) taille M en microfibre de la marque Hamac. Ces couches nous ont été offertes dans le cadre d’un partenariat avec DreamAct et nous les utilisons depuis les 5 mois de notre enfant. Elles devraient lui servir au moins jusqu’à ses 18-20 mois je pense. Ce sont celles qui nous conviennent le mieux en termes d’absorption, d’espace de stockage et de rapidité de séchage.
- Les couches TE1 intégrales multi-tailles en bambou de la marque Totsbots. Nous les utilisons également depuis les 5 mois de notre enfant et nous devrions pouvoir les utiliser jusqu’à sa continence. J’aime leur côté pratique, mais après plusieurs mois d’utilisation, nous avons constaté des fuites. Pour y pallier, nous ajoutons désormais des absorbants (en coton) de la marque Hamac qui ont prouvé leur efficacité.
- Les couches TE1 à poche multi-tailles avec absorbants en microfibre de la marque Milovia. Ces couches nous ont été très gentiment offertes par mon amie Sandrine dont les enfants n’en ont plus besoin. C’est certainement le système que je préfère d’un point de vue pratique (simple d’usage, rapide au séchage, faciles à adopter) mais après quelques essais concluants les premiers mois, nous avons eu beaucoup de fuites. Nous les avons donc mises de côté pour le moment et les réessayerons plus tard.
Pour la nuit
- Une couche classique multi-tailles en bambou/microfibre Lulu Nature (modèle « Dodo Bambou ») – c’est notre préférée, car elle garde les fesses bien au sec.
- Une couche classique multi-tailles Petit Lulu (modèle « Petit Lulu nuit)
- Une couche classique multi-tailles en bambou Totsbots (modèle « Bamboozle »)
- Des culottes de protection multi-tailles Popolini, Blueberry et TotsBots (notre préférée).
Compte tenu de leur capacité d’absorption, les couches classiques sont celles que nous préférons pour la nuit. En revanche, notre bébé têtant beaucoup la nuit, même avec l’ajout d’un insert en polaire, sa peau baigne dans l’humidité le matin. C’est pourquoi seul le modèle de Lulu Nature, dont l’intérieur est entièrement doublé en polaire, nous convient vraiment actuellement. Je pense néanmoins que lorsque notre enfant ne tétera plus la nuit (je ne désespère pas !), nous pourrons de nouveau utiliser les autres modèles.

Couches jetables
Après plusieurs mois en mode couche lavables 24h/24, nous avons réalisé que seul le modèle « Dodo Bambou » de Lulu Nature était adapté à notre bébé qui tète et urine beaucoup la nuit et comme nous n’en avons qu’un seul exemplaire, nous utilisons actuellement des couches jetables la nuit. Concernant la marque, nous avons opté pour les Lillydoo. Elles sont assez chères (9,95 euros le paquet de 29 couches en magasin) mais nous n’en utilisons généralement qu’un seul paquet par mois. J’avoue ne pas avoir fait de recherches sur les différentes couches jetables dites écolo et m’être contentée de suivre les recommandations d’ami·es soucieux·ses de choisir des produits aussi sains que possible. Dans tous les cas, aucune couche jetable n’est véritablement écologique, mais certaines se composent indéniablement de bien moins de produits toxiques.

Bac et sac à couches sales
Nous stockons nos couches lavables souillées à sec, soit dans une poubelle à couvercle, soit dans un grand sac imperméable de la marque Lulu Nature, jusqu’à 3 jours. J. préfère la poubelle, plus facile à ouvrir et moi je préfère le sac imperméable, plus facile à vider et à laver ! Nous déposons au fond du contenant un tissu imprégné de quelques gouttes d’huile essentielles d’arbre, aux propriétés anti-bactériennes et assainissantes mais honnêtement, je ne suis pas certaine que ça fasse une réelle différence.

Lingettes lavables
Pour le nettoyage, nous avons opté pour un kit de lingettes en bambou de la marque Cheeky Wipes, recommandées par plusieurs de nos ami·es. Le concept est particulièrement pratique : d’un côté, se trouve un bac rempli d’eau dans lequel on dépose quelques lingettes propres prêtes à l’emploi et de l’autre, un bac rempli d’eau et de 2-3 gouttes d’huile essentielle d’arbre à thé, pour stocker les lingettes souillées, en attendant la lessive. Nous avons vraiment apprécié ce système les premiers mois où, avec des selles liquides plusieurs fois par jour/nuit, nous utilisions une ou deux lingettes à chaque change ou presque. Ça nous permettait d’avoir des lingettes humides et à température ambiante (le petit détail qui fait toute la différence !) à portée de main pour chaque change.
En revanche, maintenant que les selles de notre enfant sont plus solides et moins fréquentes, notre besoin journalier en lingettes a diminué. C’est pourquoi nous préférons les humidifier au fur et à mesure de nos besoins plutôt que de les laisser stagner dans un bac d’eau.
Si le système m’a conquise, le matériau un peu moins : le bambou devient assez rêche au fil des lavages (la marque propose également des lingettes en coton). J’aurais aimé avoir des lingettes qui restent douces sur le long-terme et pour cela je pense que celles en eucalyptus de la marque Les tendances d’Emma m’auraient davantage convenu (il n’y en avait malheureusement plus en stock au moment où j’en avais besoin).
Enfin, pour nettoyer le visage et les mains notamment, j’avais profité de ma commande chez Cheeky Wipes pour ajouter des disques en bambou lavables à mon panier. Comme pour les lingettes, je regrette qu’elles aient perdu en douceur, mais elles restent bien pratiques pour faire une petite toilette. Je leur préfère toutefois les disques en coton bio de Sakaïdé, beaucoup plus doux et fins, que j’utilise personnellement pour me nettoyer le visage.

Soins
Du côté des produits pour le change, de manière générale, nous utilisons uniquement de l’eau, comme préconisé à la maternité et par notre sage-femme. Nous gardons toutefois sous la main les produits suivants :
- Du savon biologique saponifié à froid et sans huiles essentielles – pour faciliter le nettoyage si besoin.
- De l’eau de rose (hydrolat) biologique – pour rafraîchir ou faciliter le nettoyage.
- De la crème au calendula – pour apaiser les rougeurs. J’avais acheté celle de la marque Weleda, qui m’avait été recommandée par une amie, sans prendre le temps de vérifier la composition et ce n’est qu’après avoir commencé à l’utiliser que j’ai réalisé qu’elle n’est pas végane puisqu’elle contient de la cire d’abeille.

Jouets et autres distractions
Suivant les heures, les jours et les périodes, le moment du change peut être synonyme de calme, de rigolades ou alors de frustrations[2]… Dans ce cas-là, nous proposons à notre enfant divers objets à notre portée, ce qui nous aide à la distraire et à l’apaiser afin de pouvoir la changer sans difficulté. De manière générale, elle préfère jouer avec le thermomètre, la boîte de lingettes ou encore le rouleau de voiles de protection mais souvent, elle s’intéresse aussi aux aimants et à la guirlande d’animaux juste au-dessus de sa tête.

Dans un prochain article, je vous proposerai de découvrir nos indispensables pour le change lorsque nous sommes en vadrouille, que ce soit pour quelques heures, plusieurs jours ou semaines.
[1] Si vous souhaitez vous équiper de couches lavables mais que vous êtes un peu perdu·es, sachez que j’ai consacré quelques pages à ce sujet dans mon livre 21 éco-défis pour prendre soin de soi et de la planète.
[2] Je précise, avant de recevoir des remarques de la police des parents bienveillant·es, que si notre enfant exprime clairement son souhait de ne pas être changée avant d’être installée sur la table à langer et déshabillée, nous n’insistons – généralement – pas. Mais parfois, alors qu’on a déjà enlevé la couche, qu’il y en a de partout et qu’elle commence à vouloir se retourner, c’est trop tard ! D’où notre besoin de pouvoir la distraire afin de terminer et faciliter le change.
Merci pour cet article! Enceinte de 5 mois je le trouve très utile. J’ai hâte de lire celui sur les couches lavables 🙂
Je suis contente de savoir que cet article t’a été utile Marion 🙂 Celui sur les couches lavables ne sera certainement pas publié avant ton accouchement mais j’espère que les informations à ce sujet dans mon livre ou sur d’autres blogs/sites répondront à tes interrogations. Je te souhaite une fin de grossesse aussi sereine que possible en tout cas 🙂
Un truc tout bête et très efficace quand l’enfant a quelques mois, c’est le miroir posé derrière sa tête (pour quand il est sur le ventre) ou même là, au-dessus de sa tête (quand il est sur le dos). En général, ça les fascine et les occupe grandement.
Je me souviens que notre fille adorait croquer le bouchon de la petite bouteille d’eau qui nous servait en déplacement, le métal en était tout déformé. Je n’ose pas savoir ce qu’il contenait…
Merci pour cette chouette idée Carole !
Moi non plus, je n’ose pas imaginer ce que contenaient certains des objets mâchouillés par notre bébé…
Merci pour cet article que j’attendais avec impatience ! Enceinte de 6 mois on se demande justement comment aménager cet endroit pour qu’il soit fonctionnel et confortable, on ne se rend souvent pas bien compte de ce qui sera pratique ou non avant la naissance. Ton article donne de nouvelles idées, j’aime beaucoup le principe du kit CheekyWipes !
Je t’en prie Perline, je suis contente de savoir que ce partage te donne quelques idées supplémentaires 🙂
Pour aménager la table à langer (aussi faite d’un plan de travail par dessus le lave-linge dans notre premier logement !), nous avons utilisé des caisses de vin, 12 bouteilles, un format long, pas très profond. Posées à la verticale et agrémentées de deux étagères intermédiaires chacune nous avions alors 6 espaces de rangement parfaitement adaptés en taille aux couches lavables et lingettes ! Le tout à portée de main juste à côté du matelas à langer.
Vive la récup’ 🙂
Merci beaucoup pour ce chouette article (comme toujours !). Pour les couches lavables, nous avons opté pour le système des langes à nouer de la marque Disana pour la nuit. Nous sommes totalement convaincus ! Idem chez nous, notre puce adore « se distraire » pendant le change. Nous avons accroché un mobile au dessus de la commode à langer 🙂
Merci pour ton avis sur les langes à nouer Disana !
Et oui, je crois que toute distraction suspendue est très chouette pendant le change 🙂
Lulu nature propose un matelas à langer tout en laine / coton bio, si je ne me trompe pas sur la composition. Alors il n’est pas vegan mais il n’est pas en plastique…. j’avais trouvé le notre d’occasion à l’époque. Il est encore en parfait état et propre car vont avec des alèses spéciales bien couvrantes et imperméables.
Merci pour l’info Astrid !
Bonjour Natasha,
Etant donné que je n’ai pas d’enfants et que je ne m’occupe pas d’enfants, je ne suis pas directement concernée, mais c’est très intéressant (et joli).
Et ça n’a rien à voir, mais j’ai fini de lire ton livre, et il va rester dans ma bibliothèque, à portée de main (aux côtés de « Planète végane »). Je le relirai sans doute à plusieurs reprises, comme tous les livres que je garde pour de bon, et qui sont comme des amis réconfortants pour moi.
Bonjour Gaëlle,
Je suis contente de savoir l’intérêt que tu as pour mon livre, merci beaucoup !
Salut salut, perso j’ai opté pour les couches jetables Eco by Naty, elles sont un poil plus chères (9.99€ pour 26 couches en taille 4 dans l’une des Biocoop de ma ville), mais semblent les mieux tous points confondus niveau compo (latex, produits indésirables, SAP, absorbants autres, voile… Elles sont fabriquées en Turquie en revanche).
Pas de réaction contrairement au moment du confinement où j’ai dû utiliser des Tidoo et des Bio Babby, c’est venu progressivement alors aucune certitude que ce soit ça, mais depuis la guérison en restant sur des Naty plus de pb.
En Alsace il y a un service de location et lavage des couches lavables, ac des personnes en réinsertion.
Merci pour ton avis sur ces différents modèles.
Nous avions pensé à nous tourner vers le service de location de CL de la ville de Freiburg, mais le coût nous en a dissuadé…
Bonjour, Serait-il possible de connaître le nom de ce service de location de couches lavables ? J’habite justement en Alsace :et suis bientôt maman 🙂 merci !
Bonjour Natasha,
Merci beaucoup pour cet article ! Nous sommes justement en train de réfléchir à l’organisation de notre appartement avec la venue prochaine de bébé. A chacun de s’organiser selon ses besoins et ses capacités (pas possible pour nous de mettre la table à langer dans la salle de bain faute de place), mais c’est toujours intéressant d’avoir des avis extérieurs.
Je ne prends malheureusement pas le temps de commenter chaque article que je lis, j’en suis désolée, alors j’en profite ici pour te remercier pour l’ensemble des articles que tu rédiges sur ce sujet.
Bonjour Audrey,
Bien entendu, à chacun·e de faire selon ses moyens et ses besoins ; mes partages ne sont en rien des exemples à suivre, simplement des sources d’inspiration pour celleux à qui cela pourrait être utile 🙂
J’espère que ta grossesse se passe pour le mieux et bons préparatifs pour l’arrivée de votre bébé en tout cas !
Ici aussi on utilise uniquement des couches lavables pour nos 3 enfants, et c’est sacrément économique cette affaire !
Effectivement, les CL peuvent permettre des économies non négligeables.
Bonjour , ma dernière a 8 ans maintenant , tout ceci semble loin !
j’ai apprécié de pratiquer avec mes 3 enfants , de manière non exclusive , l’hni ou l’hygiène Naturelle infantile (ou EC élimination communication En anglais ) . Je ne sais pas si vous en avez entendu parler … cela pourrait vous intéresser , je pense (ainsi que les futures parents curieux ou alternatifs …)
Bonne continuation.
Bonjour
Merci pour votre article : c’est une mine d’information pour se lancer dans les couches lavables!
Par contre ma pédiatre était assez catégorique : pas d’huiles essentielles (y compris HE d arbre a thé ) autour de bébé. J’ai même arrêté d’en utiliser complètement dans la maison. Avez vous eu des conseils là dessus?
Bonjour Virginie,
Merci pour l’info ; je l’ai vue passer de nombreuses fois également, ainsi que son contraire, et ne suis certainement pas la meilleure placée pour dire si l’usage de 3 gouttes d’HE sur un mouchoir au fond d’un sac de couches serait nuisible ou pas. Par précaution, il vaut donc certainement mieux l’éviter… Même si je trouverais cela étonnant que des entreprises spécialistes de produits pour bébés recommandent un usage potentiellement nuisible de cette HE.
Ceci dit, j’évite également les HE de manière générale – aucun de nos produits pour le corps n’en contient – mais je ne suis pas allée jusqu’à les bannir de la maison. Mon mari et moi continuons d’en utiliser pour soulager certains maux et dans certains produits ménagers (j’utilise bien entendu celles adaptées à l’allaitement).