À la naissance de notre bébé, le manque de sommeil et l’épuisement en résultant m’ont frappée de plein fouet. Quand notre enfant se réveillait toutes les 3 à 4 heures par nuit les premiers mois, cela me semblait encore supportable. Ce n’est qu’à partir du 4e mois où ses réveils nocturnes, pouvant se compter par dizaines, ont atteint ma santé physique et mentale. Jusqu’à ses 16 mois, épuisée par lire la suite
